[article] in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 115-121 Titre : | Productivité fourragère et capacité de charge des parcours camelins du Sahara septentrional algérien | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Abdelmadjid Chehma, Auteur ; Bernard Faye, Auteur ; Mohamed Réda Djebar, Auteur | Année de publication : | 2008 | Article en page(s) : | p. 115-121 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Agneaux :Sciences humaines:Démographie
| Tags : | Algérie biomasse camelin composition floristique dromadaire parcours pression animale Sahara | Index. décimale : | 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie | Résumé : | Malgré les conditions environnementales très rudes et très contraignantes, il existe toujours des formations géomorphologiques offrant des conditions plus ou moins favorables à la survie et la prolifération d'une flore spontanée saharienne caractéristique, adaptée au milieux désertiques et appréciée des dromadaires. Six différents types de parcours camelins (sols sableux, lits d'oueds, dépressions, hamadas, regs et sols salés) ont pu être recensés à travers notre étude dans le Sahara septentrional algérien. Ils offrent la seule ressource alimentaire disponible pour les troupeaux camelins. Pour la production spatiale de la biomasse totale, ce sont les sols sableux et les lits d'oueds avec environs 3 000 kg de matière sèche (MS)/ha qui sont les plus productifs, les autres parcours enregistrant des productions qui ne dépassent guère les 100 kg de MS/ha. Sur le plan saisonnier, on enregistre les meilleures productions au printemps et en été avec une moyenne avoisinant les 1 200 kg de MS/ha et les plus faibles en hiver avec moins de 840 kg de MS/ha. La production énergétique et azotée des différents parcours est proportionnelle à la production de biomasse et du point de vue temporel, c'est au printemps et en été que les meilleures productions sont observées. De cette variation spatiale découle la productivité primaire en biomasse, en énergie et en azote des différents parcours étudiés. Elles suit la même tendance de variation spatiale. Les valeurs de capacités de charges estimées sont généralement faibles avec une moyenne inférieures à 1 dromadaire/100 ha/ an et des variations spatiales très marquées.Les meilleures capacités de charges avec respectivement 27 et 18 dromadaires/100 ha/ an sont en effet toujours relevées dans les sols sableux etles lits d'oueds. | En ligne : | http://www.revue-secheresse.fr | Permalink : | ./index.php?lvl=notice_display&id=653 |
[article] Productivité fourragère et capacité de charge des parcours camelins du Sahara septentrional algérien [texte imprimé] / Abdelmadjid Chehma, Auteur ; Bernard Faye, Auteur ; Mohamed Réda Djebar, Auteur . - 2008 . - p. 115-121. Langues : Français ( fre) in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 115-121 Catégories : | Agneaux :Sciences humaines:Démographie
| Tags : | Algérie biomasse camelin composition floristique dromadaire parcours pression animale Sahara | Index. décimale : | 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie | Résumé : | Malgré les conditions environnementales très rudes et très contraignantes, il existe toujours des formations géomorphologiques offrant des conditions plus ou moins favorables à la survie et la prolifération d'une flore spontanée saharienne caractéristique, adaptée au milieux désertiques et appréciée des dromadaires. Six différents types de parcours camelins (sols sableux, lits d'oueds, dépressions, hamadas, regs et sols salés) ont pu être recensés à travers notre étude dans le Sahara septentrional algérien. Ils offrent la seule ressource alimentaire disponible pour les troupeaux camelins. Pour la production spatiale de la biomasse totale, ce sont les sols sableux et les lits d'oueds avec environs 3 000 kg de matière sèche (MS)/ha qui sont les plus productifs, les autres parcours enregistrant des productions qui ne dépassent guère les 100 kg de MS/ha. Sur le plan saisonnier, on enregistre les meilleures productions au printemps et en été avec une moyenne avoisinant les 1 200 kg de MS/ha et les plus faibles en hiver avec moins de 840 kg de MS/ha. La production énergétique et azotée des différents parcours est proportionnelle à la production de biomasse et du point de vue temporel, c'est au printemps et en été que les meilleures productions sont observées. De cette variation spatiale découle la productivité primaire en biomasse, en énergie et en azote des différents parcours étudiés. Elles suit la même tendance de variation spatiale. Les valeurs de capacités de charges estimées sont généralement faibles avec une moyenne inférieures à 1 dromadaire/100 ha/ an et des variations spatiales très marquées.Les meilleures capacités de charges avec respectivement 27 et 18 dromadaires/100 ha/ an sont en effet toujours relevées dans les sols sableux etles lits d'oueds. | En ligne : | http://www.revue-secheresse.fr | Permalink : | ./index.php?lvl=notice_display&id=653 |
|