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Sécheresse : articles dépouillés au CNF-Lomé
"Sécheresse" (revue trimestrielle publiée par l'AUF, http://www.revue-secheresse.fr)
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Lutte antiérosive et contraintes socio-économiques dans la région des savanes du Nord-Togo / Yendoukoa Lare Lalle in Sécheresse, Sécheresse-2-volume-19 ([01/04/2008])
[article]
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 103-114
Titre : Lutte antiérosive et contraintes socio-économiques dans la région des savanes du Nord-Togo Type de document : texte imprimé Auteurs : Yendoukoa Lare Lalle, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 103-114 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : évolution socio-économique érosion lutte antiérosive occupation des sols savane technique culturale Togo Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Lérosion constitue l'un des facteurs les plus actifs de dégradations des ressources naturelles dans la région des savanes du Nord-Togo. Cette région compte à elle seule 54,2 % des terres fortement dégradées du pays. La lutte antiérosive, qqui en résulte depuis une dizaine d'années, mobolise une gamme de techniques (mécaniques et biologiques) qui necessitent des ressources financières, mais aussi une modification des pratiques culturales et foncières. A partir d'enquêtes de terrain et de l'analyse des facteurs socio-économiques qui conditionnent l'efficacité des techniques de lutte préconisées, l'article essaie de comprendre pourquoi les opérations de lutte antiérosive ne parviennent pas encore à contribuer efficacement à la conservation du patrimoine agro-écologique. L'exemple emprunté à la région des savanes semble confirmer la préeminence des facteurs socio-économiques sur l'aspect technique dans la conservation des sols. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=634 [article] Lutte antiérosive et contraintes socio-économiques dans la région des savanes du Nord-Togo [texte imprimé] / Yendoukoa Lare Lalle, Auteur . - 2008 . - p. 103-114.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 103-114
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : évolution socio-économique érosion lutte antiérosive occupation des sols savane technique culturale Togo Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Lérosion constitue l'un des facteurs les plus actifs de dégradations des ressources naturelles dans la région des savanes du Nord-Togo. Cette région compte à elle seule 54,2 % des terres fortement dégradées du pays. La lutte antiérosive, qqui en résulte depuis une dizaine d'années, mobolise une gamme de techniques (mécaniques et biologiques) qui necessitent des ressources financières, mais aussi une modification des pratiques culturales et foncières. A partir d'enquêtes de terrain et de l'analyse des facteurs socio-économiques qui conditionnent l'efficacité des techniques de lutte préconisées, l'article essaie de comprendre pourquoi les opérations de lutte antiérosive ne parviennent pas encore à contribuer efficacement à la conservation du patrimoine agro-écologique. L'exemple emprunté à la région des savanes semble confirmer la préeminence des facteurs socio-économiques sur l'aspect technique dans la conservation des sols. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=634 Modélisation des écoulements de surface et du transport solide du bassin-versant Jannet (région de Maktar, Tunisie) / Lilia Ben Cheikha in Sécheresse, Sécheresse-3-volume-19 ([01/07/2008])
[article]
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 155-162
Titre : Modélisation des écoulements de surface et du transport solide du bassin-versant Jannet (région de Maktar, Tunisie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Lilia Ben Cheikha, Auteur ; Mustapha Gueddari, Auteur ; Mustapha Saadaoui, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 155-162 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Société:EnvironnementTags : bassin-versant écoulement érosion hydrique modélisation ruissellement Sahara sédiment Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : Nous nous sommes proposés dans cette recherche d'étudier la modélisation de l'écoulement de surface et du transport solide au niveau du bassin-versant Jannet. Cette étude vise à préciser les facteurs qui interviennent dans le phénomène de l'érosoin hydrique et à prévoir l'évolution spatio-temporelle des effets de ces facteurs sur la dégradation des sols par le modèle KINROS2 qui décrit les processus d'interception, d'infiltration, de ruissellement et d'érosion, à l'échelle de l'événement pluvieux. Le bassin-versant Jannet, d'une superficie de 541 hectares, soumis à un climat semi-aride, est caractérisé par un relief très accidenté et un sol de faciés argilo-marneux qui le rend sensible à l'érosoin. La modélisation par le modèle KINERO2, a nécessité une subdivision en 20 sous-bassins (parcelles) et 7 canaux, qui a été réalisée le long du talweg principal du bassin. L'étude du régime hydrologique du bassin a permis de conclure que les crues survenues, suite à des événements pluviométriques intenses et homogènes sur le bassin, sont caractérisées par des débits forts pour la saison d'automne (événement du 24 septembre 1998, indice d'érosivité R(usa)= 45). La moyenne annuelle des indices d'agressivité des pluies observées sur le bassin durant la période 1994-1995 à 2002-2003 est de l'ordre: R(usa)=62. Le calage de la composante transport solide est effectué avec une erreur qui ne dépasse pas 13 %. Le modèle KINEROS2 a permis de calculer l'érosion spécifique au niveau de chaque parcelle du bassin-versant. Ainsi, on peut localiser les zones à forte érosion, qui se présentent principalement dans la partie amont du bassin, caractérisées par des pentes fortes qui dépassent les 30 %. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=614 [article] Modélisation des écoulements de surface et du transport solide du bassin-versant Jannet (région de Maktar, Tunisie) [texte imprimé] / Lilia Ben Cheikha, Auteur ; Mustapha Gueddari, Auteur ; Mustapha Saadaoui, Auteur . - 2008 . - p. 155-162.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 155-162
Catégories : Agneaux
:Société:EnvironnementTags : bassin-versant écoulement érosion hydrique modélisation ruissellement Sahara sédiment Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : Nous nous sommes proposés dans cette recherche d'étudier la modélisation de l'écoulement de surface et du transport solide au niveau du bassin-versant Jannet. Cette étude vise à préciser les facteurs qui interviennent dans le phénomène de l'érosoin hydrique et à prévoir l'évolution spatio-temporelle des effets de ces facteurs sur la dégradation des sols par le modèle KINROS2 qui décrit les processus d'interception, d'infiltration, de ruissellement et d'érosion, à l'échelle de l'événement pluvieux. Le bassin-versant Jannet, d'une superficie de 541 hectares, soumis à un climat semi-aride, est caractérisé par un relief très accidenté et un sol de faciés argilo-marneux qui le rend sensible à l'érosoin. La modélisation par le modèle KINERO2, a nécessité une subdivision en 20 sous-bassins (parcelles) et 7 canaux, qui a été réalisée le long du talweg principal du bassin. L'étude du régime hydrologique du bassin a permis de conclure que les crues survenues, suite à des événements pluviométriques intenses et homogènes sur le bassin, sont caractérisées par des débits forts pour la saison d'automne (événement du 24 septembre 1998, indice d'érosivité R(usa)= 45). La moyenne annuelle des indices d'agressivité des pluies observées sur le bassin durant la période 1994-1995 à 2002-2003 est de l'ordre: R(usa)=62. Le calage de la composante transport solide est effectué avec une erreur qui ne dépasse pas 13 %. Le modèle KINEROS2 a permis de calculer l'érosion spécifique au niveau de chaque parcelle du bassin-versant. Ainsi, on peut localiser les zones à forte érosion, qui se présentent principalement dans la partie amont du bassin, caractérisées par des pentes fortes qui dépassent les 30 %. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=614 Modélisation hydrogèologique d'un système aquifère (nord de la Tunisie) / Wafa Talhaoui in Sécheresse, Sécheresse-2-volume-19 ([01/04/2008])
[article]
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 137-144
Titre : Modélisation hydrogèologique d'un système aquifère (nord de la Tunisie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Wafa Talhaoui, Auteur ; Chedly Ben Hamza, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 137-144 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : eau souterraine modélisation hydrogéologie Tunisie Index. décimale : 519.85 Modélisation des phénomènes biologiques, écologiques ou sociologiques Résumé : La construction d'un modèle hydrogéologique fiable de l'aquifère de la plaine de Mateur (Tunisie) a nécessité l'établissement d'une base de données spatio-temporelle du système aquifère qui a été intégrée dans le modèle. Ce travail vient compléter plusieurs études: géologiques, hydrologiques et hydrogèologiques antérieurement menées sur la zone. La base de données implantée dans un système d'information géographique a permis une exportation aisée de la répartition spatiale des paramètres hydrodynamiques en entrée du modèle mathématique. Etant donnée la grande complexité du système aquifère, sa configuration a été simplifiée en supposant que l'alimentation se fait au niveau des limites (des reliefs) et que le drainage se fait essentiellement par les oueds. L'historique piézométrique de l'aquifère a été resonstitué à travers l'ajustement des paramètres pendant le calage du modèle en régime permanent et transitoire. Le modèle de l'aquifère de Mateur, ainsi construit, peut être utilisé pour étudier les scénarios de gestion de ce système. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=675 [article] Modélisation hydrogèologique d'un système aquifère (nord de la Tunisie) [texte imprimé] / Wafa Talhaoui, Auteur ; Chedly Ben Hamza, Auteur . - 2008 . - p. 137-144.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 137-144
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : eau souterraine modélisation hydrogéologie Tunisie Index. décimale : 519.85 Modélisation des phénomènes biologiques, écologiques ou sociologiques Résumé : La construction d'un modèle hydrogéologique fiable de l'aquifère de la plaine de Mateur (Tunisie) a nécessité l'établissement d'une base de données spatio-temporelle du système aquifère qui a été intégrée dans le modèle. Ce travail vient compléter plusieurs études: géologiques, hydrologiques et hydrogèologiques antérieurement menées sur la zone. La base de données implantée dans un système d'information géographique a permis une exportation aisée de la répartition spatiale des paramètres hydrodynamiques en entrée du modèle mathématique. Etant donnée la grande complexité du système aquifère, sa configuration a été simplifiée en supposant que l'alimentation se fait au niveau des limites (des reliefs) et que le drainage se fait essentiellement par les oueds. L'historique piézométrique de l'aquifère a été resonstitué à travers l'ajustement des paramètres pendant le calage du modèle en régime permanent et transitoire. Le modèle de l'aquifère de Mateur, ainsi construit, peut être utilisé pour étudier les scénarios de gestion de ce système. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=675 Organisation spatiale et stratégie d'adaptation des nomades du parc national du banc d'Arguin à la sécheresse / Aminata Correra in Sécheresse, Séheresse-4-volume-19 ([01/12/2008])
[article]
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 245-251
Titre : Organisation spatiale et stratégie d'adaptation des nomades du parc national du banc d'Arguin à la sécheresse Type de document : texte imprimé Auteurs : Aminata Correra, Auteur ; Jean-Claude Lefeuvre, Auteur ; Bernard Faye, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 245-251 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : adaptation pasteurs nomades sécheress Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : Situé de part et d'autre du 20e parallèle, le parc national du banc d'Arguin (PNBA) longe le littoral atlantique mauritanien sur 180 km et couvre une superficie de 12 000 km2, répartie de manière à peu près égale entre un domaine maritime et un domaine terrestre. Ce dernier appartient au Tasiast, secteur à vocation pastorale qui a longtemps constitué une étape importante des parcours pastoraux camelins en Mauritanie. Mais la sécheresse survenue au PNBA, comme partout dans le pays durant les décennies 1970 et 1980, a entraîné une irrégularité des parcours, une désaffection de ce territoire par une grande partie des pasteurs nomades et leurs troupeaux. La population de pasteurs inféodée au territoire du PNBA a adopté une stratégie d'adaptation aux changements climatiques basée sur la mobilité différenciée des troupeaux, l'extension de l'espace pastoral sur quatre régions voisines superficie totale de 598 454 km2 - formant un réseau de solidarité depuis des générations, l'attribution de substituts alimentaires (blé, mil) la diversification des activités génératrices de revenus (pêche et gestion des campements touristiques), sécurisant ainsi leur présence dans un milieu de moins en moins hospitalier. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=594 [article] Organisation spatiale et stratégie d'adaptation des nomades du parc national du banc d'Arguin à la sécheresse [texte imprimé] / Aminata Correra, Auteur ; Jean-Claude Lefeuvre, Auteur ; Bernard Faye, Auteur . - 2008 . - p. 245-251.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 245-251
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : adaptation pasteurs nomades sécheress Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : Situé de part et d'autre du 20e parallèle, le parc national du banc d'Arguin (PNBA) longe le littoral atlantique mauritanien sur 180 km et couvre une superficie de 12 000 km2, répartie de manière à peu près égale entre un domaine maritime et un domaine terrestre. Ce dernier appartient au Tasiast, secteur à vocation pastorale qui a longtemps constitué une étape importante des parcours pastoraux camelins en Mauritanie. Mais la sécheresse survenue au PNBA, comme partout dans le pays durant les décennies 1970 et 1980, a entraîné une irrégularité des parcours, une désaffection de ce territoire par une grande partie des pasteurs nomades et leurs troupeaux. La population de pasteurs inféodée au territoire du PNBA a adopté une stratégie d'adaptation aux changements climatiques basée sur la mobilité différenciée des troupeaux, l'extension de l'espace pastoral sur quatre régions voisines superficie totale de 598 454 km2 - formant un réseau de solidarité depuis des générations, l'attribution de substituts alimentaires (blé, mil) la diversification des activités génératrices de revenus (pêche et gestion des campements touristiques), sécurisant ainsi leur présence dans un milieu de moins en moins hospitalier. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=594 Les phénomènes d'érosion et d'effondrement naturels des sols (dongas) du Parc national du W et leur impact sur la productivité des pâturages / Ismaïla Toko in Sécheresse, Sécheresse-3-volume-19 ([01/07/2008])
[article]
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 193-200
Titre : Les phénomènes d'érosion et d'effondrement naturels des sols (dongas) du Parc national du W et leur impact sur la productivité des pâturages Type de document : texte imprimé Auteurs : Ismaïla Toko, Auteur ; Brice Sinsin, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 193-200 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Bénin biomasse dégradation des sols érosion état de surface des sols ligneux pâturage Index. décimale : 551.49 Hydrologie souterraine Résumé : Des études sur les phénomènes d'érosion et d'effondrement naturel des sols (dongas) et leur impact sur la productivité des pâturages ont été menées dans la zone nord-soudanienne du bénin. Dans cette zone, les dongas sont de vastes dépressions dominées par des parois abruptes de profondeurs comprises entre 0,20 et 7 m et de superficies variant entre 0,50 et 3,50 hectares. Ils sont caractérisés par une couverture végétale peu dense. Leur mise en place est favorisée par la dégradation du couvert végétal et la vulnérabilité excessive des sols à l'érosion. Les dongas sont généralement de formes circulaires, rectangulaires ou chevauchées. en fonction de leurs dimensions, on distingue les microdongas, les mésodongas et les mégadongas. Les dongas n'ont généralement pas de contact avec les cours d'eau mais leurs centre présente une pente qui favorise la naissance de rigoles. En fonction de la résistance des matériaux à l'érosion, on distingue les dongas à fond sableux, les dongas à reg et les dongas à butte. Quatregroupements végétaux ont été observés dans les dongas. La biomasse, la densité et la surface terrière des ligneux sont plus élevées sur les plateaux que dans les dongas. Du point de vue des types biologiques, les phanérophytes et les hémicryptophytes dominent les phytocénoses des plateaux alors que dans les dongas, les hémicryptophytes sont absentes. On observe une prépondérance des espèces à distribution continentale dans les différentes phytocénoses de dongas et de plateaux. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=620 [article] Les phénomènes d'érosion et d'effondrement naturels des sols (dongas) du Parc national du W et leur impact sur la productivité des pâturages [texte imprimé] / Ismaïla Toko, Auteur ; Brice Sinsin, Auteur . - 2008 . - p. 193-200.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 193-200
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Bénin biomasse dégradation des sols érosion état de surface des sols ligneux pâturage Index. décimale : 551.49 Hydrologie souterraine Résumé : Des études sur les phénomènes d'érosion et d'effondrement naturel des sols (dongas) et leur impact sur la productivité des pâturages ont été menées dans la zone nord-soudanienne du bénin. Dans cette zone, les dongas sont de vastes dépressions dominées par des parois abruptes de profondeurs comprises entre 0,20 et 7 m et de superficies variant entre 0,50 et 3,50 hectares. Ils sont caractérisés par une couverture végétale peu dense. Leur mise en place est favorisée par la dégradation du couvert végétal et la vulnérabilité excessive des sols à l'érosion. Les dongas sont généralement de formes circulaires, rectangulaires ou chevauchées. en fonction de leurs dimensions, on distingue les microdongas, les mésodongas et les mégadongas. Les dongas n'ont généralement pas de contact avec les cours d'eau mais leurs centre présente une pente qui favorise la naissance de rigoles. En fonction de la résistance des matériaux à l'érosion, on distingue les dongas à fond sableux, les dongas à reg et les dongas à butte. Quatregroupements végétaux ont été observés dans les dongas. La biomasse, la densité et la surface terrière des ligneux sont plus élevées sur les plateaux que dans les dongas. Du point de vue des types biologiques, les phanérophytes et les hémicryptophytes dominent les phytocénoses des plateaux alors que dans les dongas, les hémicryptophytes sont absentes. On observe une prépondérance des espèces à distribution continentale dans les différentes phytocénoses de dongas et de plateaux. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=620 Prédiction spatiale et modélisation de la distribution des Acacia spp. dans l'Est du Burkina Faso / Salifou Traoré in Sécheresse, Séheresse-4-volume-19 ([01/12/2008])
[article]
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 283-292
Titre : Prédiction spatiale et modélisation de la distribution des Acacia spp. dans l'Est du Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Salifou Traoré, Auteur ; Oumar Kaboré, Auteur ; Lamourdia Thiombiano, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 283-292 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Sciences de la vie:Plantes:FleursTags : couverture spatiale modèle de régression prédicteur validation croisée Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : La prédiction spatiale est un outil capital pour la gestion de la biodiversité et l'aménagement des écosystèmes. Au regard de l'importance socio-économique et écologique des Acacia spp. dans le développement rural des zones sèches (fourrage pour le bétail, bois dénergie, production de gomme, réhabilitation des terres dégradées), la modélisation spatiale de la distribution de quatre espèces soudanosahéliennes (Acacia dudgeoni, Acacia gourmaensis, Acacia hockii et Acacia seyal) a été réalisée dans la région Est du Burkina Faso. Cette modélisation s'est basée sur un échantillonnage de 175 placettes en intégrant, comme prédicteurs de l'occurrence des espèces, les variables environnementales (climat et sol) et géographiques densité locale, tendance spatiale). Les modèles sont sélectionnés et évalués par des méthodes de validation croisée en utilisant le programme GRASP (generalized regressions and spatial analysis). L'évaluation des modèles de régression montre des modèle stables et adéquats pour les espèces A. gourmaensis, A. hockii, avec des corrélations de Spearman élevées entre les valeurs prédites et observées de la validation croisée (respectivement, 0,72 et 0,84). Le modèle de A. seyal montre une autocorrélation significative, et sa prédiction spatiale a été calibrée par deux méthodes en tenant compte des termes autorégressifs. La prédiction spatiale, réalisée grâce à une couverture spatiale des prédicteurs, montre la distribution potentielle des différentes espèces mettant en évidence des zones de forte et de faible occurrence.Ces informations sont nécessaires pour la gestion et la mise en valeur de ces ressources forestières dans un contexte environnemental marqué par la forte pression anthropique et le changement climatique. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=599 [article] Prédiction spatiale et modélisation de la distribution des Acacia spp. dans l'Est du Burkina Faso [texte imprimé] / Salifou Traoré, Auteur ; Oumar Kaboré, Auteur ; Lamourdia Thiombiano, Auteur . - 2008 . - p. 283-292.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 283-292
Catégories : Agneaux
:Sciences:Sciences de la vie:Plantes:FleursTags : couverture spatiale modèle de régression prédicteur validation croisée Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : La prédiction spatiale est un outil capital pour la gestion de la biodiversité et l'aménagement des écosystèmes. Au regard de l'importance socio-économique et écologique des Acacia spp. dans le développement rural des zones sèches (fourrage pour le bétail, bois dénergie, production de gomme, réhabilitation des terres dégradées), la modélisation spatiale de la distribution de quatre espèces soudanosahéliennes (Acacia dudgeoni, Acacia gourmaensis, Acacia hockii et Acacia seyal) a été réalisée dans la région Est du Burkina Faso. Cette modélisation s'est basée sur un échantillonnage de 175 placettes en intégrant, comme prédicteurs de l'occurrence des espèces, les variables environnementales (climat et sol) et géographiques densité locale, tendance spatiale). Les modèles sont sélectionnés et évalués par des méthodes de validation croisée en utilisant le programme GRASP (generalized regressions and spatial analysis). L'évaluation des modèles de régression montre des modèle stables et adéquats pour les espèces A. gourmaensis, A. hockii, avec des corrélations de Spearman élevées entre les valeurs prédites et observées de la validation croisée (respectivement, 0,72 et 0,84). Le modèle de A. seyal montre une autocorrélation significative, et sa prédiction spatiale a été calibrée par deux méthodes en tenant compte des termes autorégressifs. La prédiction spatiale, réalisée grâce à une couverture spatiale des prédicteurs, montre la distribution potentielle des différentes espèces mettant en évidence des zones de forte et de faible occurrence.Ces informations sont nécessaires pour la gestion et la mise en valeur de ces ressources forestières dans un contexte environnemental marqué par la forte pression anthropique et le changement climatique. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=599 Productivité fourragère et capacité de charge des parcours camelins du Sahara septentrional algérien / Abdelmadjid Chehma in Sécheresse, Sécheresse-2-volume-19 ([01/04/2008])
[article]
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 115-121
Titre : Productivité fourragère et capacité de charge des parcours camelins du Sahara septentrional algérien Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdelmadjid Chehma, Auteur ; Bernard Faye, Auteur ; Mohamed Réda Djebar, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 115-121 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:DémographieTags : Algérie biomasse camelin composition floristique dromadaire parcours pression animale Sahara Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Malgré les conditions environnementales très rudes et très contraignantes, il existe toujours des formations géomorphologiques offrant des conditions plus ou moins favorables à la survie et la prolifération d'une flore spontanée saharienne caractéristique, adaptée au milieux désertiques et appréciée des dromadaires. Six différents types de parcours camelins (sols sableux, lits d'oueds, dépressions, hamadas, regs et sols salés) ont pu être recensés à travers notre étude dans le Sahara septentrional algérien. Ils offrent la seule ressource alimentaire disponible pour les troupeaux camelins. Pour la production spatiale de la biomasse totale, ce sont les sols sableux et les lits d'oueds avec environs 3 000 kg de matière sèche (MS)/ha qui sont les plus productifs, les autres parcours enregistrant des productions qui ne dépassent guère les 100 kg de MS/ha. Sur le plan saisonnier, on enregistre les meilleures productions au printemps et en été avec une moyenne avoisinant les 1 200 kg de MS/ha et les plus faibles en hiver avec moins de 840 kg de MS/ha. La production énergétique et azotée des différents parcours est proportionnelle à la production de biomasse et du point de vue temporel, c'est au printemps et en été que les meilleures productions sont observées. De cette variation spatiale découle la productivité primaire en biomasse, en énergie et en azote des différents parcours étudiés. Elles suit la même tendance de variation spatiale. Les valeurs de capacités de charges estimées sont généralement faibles avec une moyenne inférieures à 1 dromadaire/100 ha/ an et des variations spatiales très marquées.Les meilleures capacités de charges avec respectivement 27 et 18 dromadaires/100 ha/ an sont en effet toujours relevées dans les sols sableux etles lits d'oueds. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=653 [article] Productivité fourragère et capacité de charge des parcours camelins du Sahara septentrional algérien [texte imprimé] / Abdelmadjid Chehma, Auteur ; Bernard Faye, Auteur ; Mohamed Réda Djebar, Auteur . - 2008 . - p. 115-121.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 115-121
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:DémographieTags : Algérie biomasse camelin composition floristique dromadaire parcours pression animale Sahara Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Malgré les conditions environnementales très rudes et très contraignantes, il existe toujours des formations géomorphologiques offrant des conditions plus ou moins favorables à la survie et la prolifération d'une flore spontanée saharienne caractéristique, adaptée au milieux désertiques et appréciée des dromadaires. Six différents types de parcours camelins (sols sableux, lits d'oueds, dépressions, hamadas, regs et sols salés) ont pu être recensés à travers notre étude dans le Sahara septentrional algérien. Ils offrent la seule ressource alimentaire disponible pour les troupeaux camelins. Pour la production spatiale de la biomasse totale, ce sont les sols sableux et les lits d'oueds avec environs 3 000 kg de matière sèche (MS)/ha qui sont les plus productifs, les autres parcours enregistrant des productions qui ne dépassent guère les 100 kg de MS/ha. Sur le plan saisonnier, on enregistre les meilleures productions au printemps et en été avec une moyenne avoisinant les 1 200 kg de MS/ha et les plus faibles en hiver avec moins de 840 kg de MS/ha. La production énergétique et azotée des différents parcours est proportionnelle à la production de biomasse et du point de vue temporel, c'est au printemps et en été que les meilleures productions sont observées. De cette variation spatiale découle la productivité primaire en biomasse, en énergie et en azote des différents parcours étudiés. Elles suit la même tendance de variation spatiale. Les valeurs de capacités de charges estimées sont généralement faibles avec une moyenne inférieures à 1 dromadaire/100 ha/ an et des variations spatiales très marquées.Les meilleures capacités de charges avec respectivement 27 et 18 dromadaires/100 ha/ an sont en effet toujours relevées dans les sols sableux etles lits d'oueds. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=653 Rationalisation du réseau piézométrique du système aquifère du Sahara eptentrional / Feten Jarraya Horriche in Sécheresse, Sécheresse-3-volume-19 ([01/07/2008])
[article]
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 163-171
Titre : Rationalisation du réseau piézométrique du système aquifère du Sahara eptentrional Type de document : texte imprimé Auteurs : Feten Jarraya Horriche, Auteur ; Mustapha Besbes, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 163-171 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : eau souterraine gestion de l'eau piézométrie réseau de surveillance ressource en eau Sahara Index. décimale : 500 Sciences Résumé : Au terme d'une première analyse de l'ensemble des observations piézométriques enregistrées sur les nappes sahariennes, il a été possible, grâce à des regroupements de forages sur des critères de proximité et de similitude de comportement, d'identifier un réseau de référence historique composé de 73 point d'eau, dont la répartition dans l'espace est cependant très inégale. Il était donc nécessaire de rationaliser le réseau piézométrique par un certain nombre de procédures destinées à renforcer et consolider ce réseau, de sorte qu'il puisse répondre aux objectifs poursuivis par la surveillance piézométrique des aquifères sahariens. Les critères de rationalisation utilisés sont relatifs à la couverture spatiale des aquifères, la surveillance des rabattements généralisés, le contrôle des zones à risques, la couverture de conditions aux limites particulières et de zones autorisant une meilleure connaissance du système. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=615 [article] Rationalisation du réseau piézométrique du système aquifère du Sahara eptentrional [texte imprimé] / Feten Jarraya Horriche, Auteur ; Mustapha Besbes, Auteur . - 2008 . - p. 163-171.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 163-171
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : eau souterraine gestion de l'eau piézométrie réseau de surveillance ressource en eau Sahara Index. décimale : 500 Sciences Résumé : Au terme d'une première analyse de l'ensemble des observations piézométriques enregistrées sur les nappes sahariennes, il a été possible, grâce à des regroupements de forages sur des critères de proximité et de similitude de comportement, d'identifier un réseau de référence historique composé de 73 point d'eau, dont la répartition dans l'espace est cependant très inégale. Il était donc nécessaire de rationaliser le réseau piézométrique par un certain nombre de procédures destinées à renforcer et consolider ce réseau, de sorte qu'il puisse répondre aux objectifs poursuivis par la surveillance piézométrique des aquifères sahariens. Les critères de rationalisation utilisés sont relatifs à la couverture spatiale des aquifères, la surveillance des rabattements généralisés, le contrôle des zones à risques, la couverture de conditions aux limites particulières et de zones autorisant une meilleure connaissance du système. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=615 Signification et usage de l'indice pluviométrique au Sahel / Abdou Ali in Sécheresse, Séheresse-4-volume-19 ([01/12/2008])
[article]
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 227-235
Titre : Signification et usage de l'indice pluviométrique au Sahel Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdou Ali, Auteur ; Thierry Lebel, Auteur ; Abou Amani, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 227-235 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieTags : indice de pluie modélisation probabiliste Sahel sécheresse variabilité spatiale Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Pour diagnostiquer si une année est pluvieuse au sèche au Sahel, l'indice de pluie standardisé (IPS) est couramment utilisé. Cependant, compte tenu de la forte variabilité spatiale de la pluie dans cette région, plusieurs points d'ordre méthodologique méritent d'être clarifiés pour prétendre pouvoir caractériser de manière pertinente la saison des pluies à travers cet indice. Dans cette optique, la présente contribution fournit des éléments de réponse aux trois questions majeures suivantes : i) les réseaux pluviométriques opérationnels des pays sahéliens, compte tenu de la faiblesse de leur densité, permettent-ils de déceler de façon significative les fluctuations de la pluie interannuelle? La réponse est oui ; ii) est-il pertinent d'utiliser l'IPS calculé globalement sur tout le Sahel pour caractériser la saison des pluies, sachant que, dans son ensemble, le Sahel ne peut pas être considéré comme une région homogène en termes de variabilité interannuelle de la pluie ? La réponse est non ; iii) trois sous-régions sont identifiées (Sahel Est, Ouest et Centre), et il apparaît que, en particulier depuis 1990, la corrélation entre les IPS du Sahel Est et Sahel Ouest est très faible, montrant ainsi que la valeur globale de l'indice n'a, en elle-même, qu'une signification limitée. Tenant compte de ce résultat, comment utiliser une valeur globale de l'IPS de manière pertinente ? On propose ici une réponse probabiliste : en étudiant la variabilité des IPS locaux calculés sur des mailles de 0,5 x 0,5 degré, un modèle qui permet de quantifier la proportion des zones humides au sèches en fonction de la valeur globale de l'indice est proposé. Un résultat dérivé de cette étude méthodologique a une portée climatologique : en étudiant le comportement des IPS des trois régions, il est montré que la période récente (1990-2006) est caractérisée par une variabilité spatiale et une variabilité interannuelle plus fortes que celles des deux périodes précédentes, 1950-1969, globalement humide, et 1970-1989, globalement sèche. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=592 [article] Signification et usage de l'indice pluviométrique au Sahel [texte imprimé] / Abdou Ali, Auteur ; Thierry Lebel, Auteur ; Abou Amani, Auteur . - 2008 . - p. 227-235.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 227-235
Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieTags : indice de pluie modélisation probabiliste Sahel sécheresse variabilité spatiale Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Pour diagnostiquer si une année est pluvieuse au sèche au Sahel, l'indice de pluie standardisé (IPS) est couramment utilisé. Cependant, compte tenu de la forte variabilité spatiale de la pluie dans cette région, plusieurs points d'ordre méthodologique méritent d'être clarifiés pour prétendre pouvoir caractériser de manière pertinente la saison des pluies à travers cet indice. Dans cette optique, la présente contribution fournit des éléments de réponse aux trois questions majeures suivantes : i) les réseaux pluviométriques opérationnels des pays sahéliens, compte tenu de la faiblesse de leur densité, permettent-ils de déceler de façon significative les fluctuations de la pluie interannuelle? La réponse est oui ; ii) est-il pertinent d'utiliser l'IPS calculé globalement sur tout le Sahel pour caractériser la saison des pluies, sachant que, dans son ensemble, le Sahel ne peut pas être considéré comme une région homogène en termes de variabilité interannuelle de la pluie ? La réponse est non ; iii) trois sous-régions sont identifiées (Sahel Est, Ouest et Centre), et il apparaît que, en particulier depuis 1990, la corrélation entre les IPS du Sahel Est et Sahel Ouest est très faible, montrant ainsi que la valeur globale de l'indice n'a, en elle-même, qu'une signification limitée. Tenant compte de ce résultat, comment utiliser une valeur globale de l'IPS de manière pertinente ? On propose ici une réponse probabiliste : en étudiant la variabilité des IPS locaux calculés sur des mailles de 0,5 x 0,5 degré, un modèle qui permet de quantifier la proportion des zones humides au sèches en fonction de la valeur globale de l'indice est proposé. Un résultat dérivé de cette étude méthodologique a une portée climatologique : en étudiant le comportement des IPS des trois régions, il est montré que la période récente (1990-2006) est caractérisée par une variabilité spatiale et une variabilité interannuelle plus fortes que celles des deux périodes précédentes, 1950-1969, globalement humide, et 1970-1989, globalement sèche. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=592 Trois méthodes simples d'amélioration et de conservation génétiques pour l'agroforesterie et la foresterie en régions arides / Alphonse Nanson in Sécheresse, Séheresse-4-volume-19 ([01/12/2008])
[article]
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 269-275
Titre : Trois méthodes simples d'amélioration et de conservation génétiques pour l'agroforesterie et la foresterie en régions arides Type de document : texte imprimé Auteurs : Alphonse Nanson, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 269-275 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Techniques:Agriculture - ElevageTags : agroforesterie amélioration désertification foresterie Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : La désertification s'étend rapidement à cause du réchauffement global et de la pression anthropique. Beaucoup d'espèces forestières et agroforestières sont menacées et nécessitent une conservation, Plusieurs d'entre elles devraient aussi être rapidement améliorées au service des populations humaines lacales, mais les ressources financières et techniques manquent. A cause du grand nombre d'espèces impliquées, les méthodes coûteuses classiques sont inadéquates. Des programmes simples et peu coûteux, mais cependant efficaces, doivent être trouvés. Les méthodes classiques actuelles d'amélioration génétique comprennent les tests de provenances, la sélection des peuplements à graines et la sélection individuelle. La stratégie proposée est composée de trois méthodes simples dont les deux premières fusionnent les trois méthodes classiques actuelles. La première consiste à mélanger soigneusement les graines de nombreuses provenances ou variétés présumées bonnes pour constituer un peuplement dans une région de culture donnée. Ce peuplement est alors soumis à des éclaircies sélectives successives qui améliorent sa valeur génétique et son adaptation. Les graines pour le reboisement sont récoltées sur ce peuplement. La deuxièment est le verger à graines de semis de provenances. Elle suit le même processus , excepté que l'identité de chaque plant est conservée, ce qui permet diverses analyses scientifiques et ouvre la voie à une amélioration individuelle ultérieure plus raffinée. La troisième est celle des peuplements à graines récurrents avec deux options se combinant à la première méthode. Dans chaque cas, des populations d'amélioration hétérotiques, déjà adaptées à la région de culture considérée et dotées d'une large biodiversité génétique, sont constituées. Dans les générations suivantes, l'adaptation de ces populations continue à s'améliorer. Tout autant que l'amélioration des arbres forestiers et agroforestiers, la conservation génétique peut ainsi s'accomplir rapidement en une fois pour de nombreuses espèces, simplement et à des coûts très bas. Ces méthodes fournissent des populations robustes mieux adaptées à des milieux extrêmes et changeants. C'est un nouvel outil pour combattre la désertification. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=597 [article] Trois méthodes simples d'amélioration et de conservation génétiques pour l'agroforesterie et la foresterie en régions arides [texte imprimé] / Alphonse Nanson, Auteur . - 2008 . - p. 269-275.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 269-275
Catégories : Agneaux
:Techniques:Agriculture - ElevageTags : agroforesterie amélioration désertification foresterie Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : La désertification s'étend rapidement à cause du réchauffement global et de la pression anthropique. Beaucoup d'espèces forestières et agroforestières sont menacées et nécessitent une conservation, Plusieurs d'entre elles devraient aussi être rapidement améliorées au service des populations humaines lacales, mais les ressources financières et techniques manquent. A cause du grand nombre d'espèces impliquées, les méthodes coûteuses classiques sont inadéquates. Des programmes simples et peu coûteux, mais cependant efficaces, doivent être trouvés. Les méthodes classiques actuelles d'amélioration génétique comprennent les tests de provenances, la sélection des peuplements à graines et la sélection individuelle. La stratégie proposée est composée de trois méthodes simples dont les deux premières fusionnent les trois méthodes classiques actuelles. La première consiste à mélanger soigneusement les graines de nombreuses provenances ou variétés présumées bonnes pour constituer un peuplement dans une région de culture donnée. Ce peuplement est alors soumis à des éclaircies sélectives successives qui améliorent sa valeur génétique et son adaptation. Les graines pour le reboisement sont récoltées sur ce peuplement. La deuxièment est le verger à graines de semis de provenances. Elle suit le même processus , excepté que l'identité de chaque plant est conservée, ce qui permet diverses analyses scientifiques et ouvre la voie à une amélioration individuelle ultérieure plus raffinée. La troisième est celle des peuplements à graines récurrents avec deux options se combinant à la première méthode. Dans chaque cas, des populations d'amélioration hétérotiques, déjà adaptées à la région de culture considérée et dotées d'une large biodiversité génétique, sont constituées. Dans les générations suivantes, l'adaptation de ces populations continue à s'améliorer. Tout autant que l'amélioration des arbres forestiers et agroforestiers, la conservation génétique peut ainsi s'accomplir rapidement en une fois pour de nombreuses espèces, simplement et à des coûts très bas. Ces méthodes fournissent des populations robustes mieux adaptées à des milieux extrêmes et changeants. C'est un nouvel outil pour combattre la désertification. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=597 Variabilité intra-sonnière de précipitations au Sénégal (1951-1996) / Ousmane Dieng in Sécheresse, Sécheresse-2-volume-19 ([01/04/2008])
[article]
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 87-93
Titre : Variabilité intra-sonnière de précipitations au Sénégal (1951-1996) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ousmane Dieng, Auteur ; Pascal Roucou, Auteur ; Samuel Louvet, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 87-93 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Afrique de l'Ouest climatologie mousson pluviométrie Sénégal Index. décimale : 556.3 Climatologie Résumé : La mise en place de la mousson ouest-africaine se caractérise par une succession de phases actives et inactives, encore appelées pauses, pendant lesquelles les pluies s'intensifient et s'affaiblissent. Le calendrier de ces phases est très régulier d'une année sur l'autre. Ce travail a pour objectif de préciser le calendrier des périodes d'activité et d'inactivité à l'échelle du Sénégal et d'en axaminer la variabilité sur la période 1951-1996. Les données stationnelles sont d'abord moyennées sur 5 jours (pentades) et filtrées pour s'affranchir de la variabilité synoptique. Elles sont ensuite synthétisées sous la forme de deux indices pluviométriques calculés à partir d'une classification hiérarchique ascendante. Un critère de détection des pauses, appliqué sur les deux indices pour chacune des 46 saisons (avril à août) est ensuite employé.Les résultats montrent que les phases d'activité et d'inactivité de la mousson au Sénégal présentent de grandes similitudes avec celles établies à l'échelle de l'Afrique de l'Ouest. La première pause concerne le sud du pays et se produit en moyenne entre le 19 et 23 juin. La seconde est commune à l'ensemble du Sénégal. Elle est datée en moyenne autour des 29 juillet et 2 août au sud et autour des 3 et 7 août pour le nord. Le calendrier des pauses est inchangé lorsqu'on considère la période humide précédant 1970 et la période sèche lui succédant. A l'échelle intra-saisonnière, on remarque que lorsque la pause est plus précoce (tardive) les cumuls pluviométriques du nord du Sénégal en juillet-août-septembre sont significativement plus élevés (bas) que la moyenne. En revanche, aucune relation de ce type n'a été notée au sud. La connaissance de ces pauses ainsi que leur prévision est donc susceptible d'application intéressante du point de vue de l'agronomie notamment dans le nord du pays. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=632 [article] Variabilité intra-sonnière de précipitations au Sénégal (1951-1996) [texte imprimé] / Ousmane Dieng, Auteur ; Pascal Roucou, Auteur ; Samuel Louvet, Auteur . - 2008 . - p. 87-93.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 87-93
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Afrique de l'Ouest climatologie mousson pluviométrie Sénégal Index. décimale : 556.3 Climatologie Résumé : La mise en place de la mousson ouest-africaine se caractérise par une succession de phases actives et inactives, encore appelées pauses, pendant lesquelles les pluies s'intensifient et s'affaiblissent. Le calendrier de ces phases est très régulier d'une année sur l'autre. Ce travail a pour objectif de préciser le calendrier des périodes d'activité et d'inactivité à l'échelle du Sénégal et d'en axaminer la variabilité sur la période 1951-1996. Les données stationnelles sont d'abord moyennées sur 5 jours (pentades) et filtrées pour s'affranchir de la variabilité synoptique. Elles sont ensuite synthétisées sous la forme de deux indices pluviométriques calculés à partir d'une classification hiérarchique ascendante. Un critère de détection des pauses, appliqué sur les deux indices pour chacune des 46 saisons (avril à août) est ensuite employé.Les résultats montrent que les phases d'activité et d'inactivité de la mousson au Sénégal présentent de grandes similitudes avec celles établies à l'échelle de l'Afrique de l'Ouest. La première pause concerne le sud du pays et se produit en moyenne entre le 19 et 23 juin. La seconde est commune à l'ensemble du Sénégal. Elle est datée en moyenne autour des 29 juillet et 2 août au sud et autour des 3 et 7 août pour le nord. Le calendrier des pauses est inchangé lorsqu'on considère la période humide précédant 1970 et la période sèche lui succédant. A l'échelle intra-saisonnière, on remarque que lorsque la pause est plus précoce (tardive) les cumuls pluviométriques du nord du Sénégal en juillet-août-septembre sont significativement plus élevés (bas) que la moyenne. En revanche, aucune relation de ce type n'a été notée au sud. La connaissance de ces pauses ainsi que leur prévision est donc susceptible d'application intéressante du point de vue de l'agronomie notamment dans le nord du pays. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=632 Vers la disparition de l'une des plus grandes foggaras d'Algérie / Boualem Remini in Sécheresse, Sécheresse-3-volume-19 ([01/07/2008])
[article]
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 217-221
Titre : Vers la disparition de l'une des plus grandes foggaras d'Algérie : la foggara d'El Meghier Type de document : texte imprimé Auteurs : Boualem Remini, Auteur ; Bachir Achour, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 217-221 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Sciences de la vie:Plantes:FleursTags : Algérie eau souterraine gestion de l'eau irrigation ressource en eau Sahara tarissement Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : Le sud-ouest du Grand Erg occidental du Sahara est considéré comme le berceau de la foggara, une technique ancestrale de captage des eaux souterraines. Il existe actuellement 907 foggaras en exploitation dans les oasis de Touat, Gourara et Tidikelt. Malheureusement, ce patrimoine hydraulique et culturel se dégrade d'une année à l'autre en raison de problèmes techniques et sociaux. La foggara d'El Meghier, considérée comme l'une des plus grandes foggaras d'Algérie, est celle dont l'état est le plus dégradé. Le présent article a pour objectif d'expliquer les raisons de cette dégradation et les conséquences qui en découlent. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=624 [article] Vers la disparition de l'une des plus grandes foggaras d'Algérie : la foggara d'El Meghier [texte imprimé] / Boualem Remini, Auteur ; Bachir Achour, Auteur . - 2008 . - p. 217-221.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 217-221
Catégories : Agneaux
:Sciences:Sciences de la vie:Plantes:FleursTags : Algérie eau souterraine gestion de l'eau irrigation ressource en eau Sahara tarissement Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : Le sud-ouest du Grand Erg occidental du Sahara est considéré comme le berceau de la foggara, une technique ancestrale de captage des eaux souterraines. Il existe actuellement 907 foggaras en exploitation dans les oasis de Touat, Gourara et Tidikelt. Malheureusement, ce patrimoine hydraulique et culturel se dégrade d'une année à l'autre en raison de problèmes techniques et sociaux. La foggara d'El Meghier, considérée comme l'une des plus grandes foggaras d'Algérie, est celle dont l'état est le plus dégradé. Le présent article a pour objectif d'expliquer les raisons de cette dégradation et les conséquences qui en découlent. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=624