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Sécheresse : articles dépouillés au CNF-Lomé
"Sécheresse" (revue trimestrielle publiée par l'AUF, http://www.revue-secheresse.fr)
Affiner la rechercheApproches méthodologiques et outils opérationnels pour la gestion des forêts classées en Afrique de l'Ouest : le cas du Niger / Vieri Tarchiani in Sécheresse, Séheresse-4-volume-19 ([01/12/2008])
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p.261-267
Titre : Approches méthodologiques et outils opérationnels pour la gestion des forêts classées en Afrique de l'Ouest : le cas du Niger Type de document : texte imprimé Auteurs : Vieri Tarchiani, Auteur ; Andrea Di Vecchia, Auteur ; Giancarlo Pini, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p.261-267 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Techniques:Agriculture - ElevageTags : décentralisation gestion des ressources forestières outil d'aide à la décision systèmes d'information géographique Index. décimale : 631 Agriculture en général Résumé : La gestion des forêts classées est un défi majeur pour l'ensemble des pays de l'Afrique de l'Ouest. Dans cette région, la pression anthropique et la désertification contribuent à la dégradation des forêts avec un taux estimé à 1,2 million d'hectares par an. Les forêts classées (FC) constituent un patrimoine d'importance capitale, vu la superficie qu'elles occupent (plus de 20 millions d'hectares). Nonobstant l'intérêt international qu'elles suscitent et les progrès des politiques forestières de ces dernières années, les FC a été développé pour servir d'outil d'aide à la décision. Le système contient l'ensemble des informations disponibles sur les FC et des analyses relatives aux dynamiques de changement qui les ont occupées par des champs de culture à un taux de plus de 10% de leur surface. Il y a lieu de préciser que 40 % des FC en sont occupées à plus de 50 % de leur surface. Le système a été conçu pour répondre aux besoins en information, tant au niveau central sur le plan institutionnel et juridique que décentralisé en termes d'information thématique pour le suivi et la planification. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=596 [article] Approches méthodologiques et outils opérationnels pour la gestion des forêts classées en Afrique de l'Ouest : le cas du Niger [texte imprimé] / Vieri Tarchiani, Auteur ; Andrea Di Vecchia, Auteur ; Giancarlo Pini, Auteur . - 2008 . - p.261-267.
Langues : Français (fre)
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Catégories : Agneaux
:Techniques:Agriculture - ElevageTags : décentralisation gestion des ressources forestières outil d'aide à la décision systèmes d'information géographique Index. décimale : 631 Agriculture en général Résumé : La gestion des forêts classées est un défi majeur pour l'ensemble des pays de l'Afrique de l'Ouest. Dans cette région, la pression anthropique et la désertification contribuent à la dégradation des forêts avec un taux estimé à 1,2 million d'hectares par an. Les forêts classées (FC) constituent un patrimoine d'importance capitale, vu la superficie qu'elles occupent (plus de 20 millions d'hectares). Nonobstant l'intérêt international qu'elles suscitent et les progrès des politiques forestières de ces dernières années, les FC a été développé pour servir d'outil d'aide à la décision. Le système contient l'ensemble des informations disponibles sur les FC et des analyses relatives aux dynamiques de changement qui les ont occupées par des champs de culture à un taux de plus de 10% de leur surface. Il y a lieu de préciser que 40 % des FC en sont occupées à plus de 50 % de leur surface. Le système a été conçu pour répondre aux besoins en information, tant au niveau central sur le plan institutionnel et juridique que décentralisé en termes d'information thématique pour le suivi et la planification. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=596
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 145-151
Titre : Bilan hydrique des sols et recharge de la nappe profonde de la plaine du Gharb (Maroc) Type de document : texte imprimé Auteurs : Malika Kili, Auteur ; Bouabid El Mansouri, Auteur ; Jamal Chao, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 145-151 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : bilan hydrique eau souterraine Maroc Index. décimale : 628.1 Alimentation en eau. Traitement des eaux. Consommation d’eau Résumé : La plaine du Gharb fait partie de l'un des plus grands bassins hydrogéologiques du Maroc occidental. Un bilan hydrique mensuel des différents types de sols, établi sur treize années, a permis l'estimation des infiltrations par percolation profonde. Ces évaluations concernent l'alimentation de la nappe phréatique superficielle et celle de la nappe profonde varie entre 0 et 52 % par rapport au volume moyen des précipitations reçues par cette zone. Celle-ci, située en marge océanique, est exposée à une surexploitation liée au développement croissant de l'agriculture confrontée à des périodes récurrentes de sécheresse. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=677 [article] Bilan hydrique des sols et recharge de la nappe profonde de la plaine du Gharb (Maroc) [texte imprimé] / Malika Kili, Auteur ; Bouabid El Mansouri, Auteur ; Jamal Chao, Auteur . - 2008 . - p. 145-151.
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Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : bilan hydrique eau souterraine Maroc Index. décimale : 628.1 Alimentation en eau. Traitement des eaux. Consommation d’eau Résumé : La plaine du Gharb fait partie de l'un des plus grands bassins hydrogéologiques du Maroc occidental. Un bilan hydrique mensuel des différents types de sols, établi sur treize années, a permis l'estimation des infiltrations par percolation profonde. Ces évaluations concernent l'alimentation de la nappe phréatique superficielle et celle de la nappe profonde varie entre 0 et 52 % par rapport au volume moyen des précipitations reçues par cette zone. Celle-ci, située en marge océanique, est exposée à une surexploitation liée au développement croissant de l'agriculture confrontée à des périodes récurrentes de sécheresse. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=677
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 129-135
Titre : Cartographie de la densité du couvert ligneux dans les zones arides et semi-arides à l'aide de l'imagerie satellitaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Akila Kemmouche, Auteur ; Catherine Mering, Auteur ; Boualem Sansal, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 129-135 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : cartographie désertification distribution spatio-temporelle imagerie satellitaire et géomatique ligneux zone aride et semi-aride Index. décimale : 556.3 Climatologie Résumé : Sous l'effet de conditions climatiques particulièrement défavorables, la végétation ligneuse dans les zones semi-arides a tendance à devenir discontinue et à se concentrer dans les micro-dépressions. La tendance du couvert végétal est un indicateur des changements de l'environnement. Dans ce contexte, la cartographie de l'organisation spatiale permet d'estimer le stade de la désertification. Le travail présenté dans cet article concerne la mise au point d'une méthodologie basée sur l'analyse de la granulométrie morphologique, pour cartographier l'organisation spatiale de la végétation ligneuse en zones semi-arides à l'aide de l'imagerie satellitaire. La carte finale obtenue à l'aide de la classification automatique des pixels décrits par les valeurs de la densité granulométrique, peut être interprétée comme une carte de la densité du couvert végétal. Cette méthodologie a été appliquée à la cartographie de la densité de la couverture végétal. Cette méthodologie a été appliquée à la cartographie de la densité de la couverture végétale en régions sahélienne et présaharienne à partir des données fournies par les satellites SPOT et landsat TM. Ces régions sont caractérisées par différents satades du couvert ligneux. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=672 [article] Cartographie de la densité du couvert ligneux dans les zones arides et semi-arides à l'aide de l'imagerie satellitaire [texte imprimé] / Akila Kemmouche, Auteur ; Catherine Mering, Auteur ; Boualem Sansal, Auteur . - 2008 . - p. 129-135.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 129-135
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : cartographie désertification distribution spatio-temporelle imagerie satellitaire et géomatique ligneux zone aride et semi-aride Index. décimale : 556.3 Climatologie Résumé : Sous l'effet de conditions climatiques particulièrement défavorables, la végétation ligneuse dans les zones semi-arides a tendance à devenir discontinue et à se concentrer dans les micro-dépressions. La tendance du couvert végétal est un indicateur des changements de l'environnement. Dans ce contexte, la cartographie de l'organisation spatiale permet d'estimer le stade de la désertification. Le travail présenté dans cet article concerne la mise au point d'une méthodologie basée sur l'analyse de la granulométrie morphologique, pour cartographier l'organisation spatiale de la végétation ligneuse en zones semi-arides à l'aide de l'imagerie satellitaire. La carte finale obtenue à l'aide de la classification automatique des pixels décrits par les valeurs de la densité granulométrique, peut être interprétée comme une carte de la densité du couvert végétal. Cette méthodologie a été appliquée à la cartographie de la densité de la couverture végétal. Cette méthodologie a été appliquée à la cartographie de la densité de la couverture végétale en régions sahélienne et présaharienne à partir des données fournies par les satellites SPOT et landsat TM. Ces régions sont caractérisées par différents satades du couvert ligneux. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=672
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 293-300
Titre : Cartographie de l'évapotranspiration réelle journalière dans les conditions semi-arides en Algérie à partir des données satellitaires Aster Type de document : texte imprimé Auteurs : Abderrahmane Hamimed, Auteur ; Rabha Menaa, Auteur ; Mohamed Benslimane, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 293-300 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieTags : Algérie bilan d'énergie évapotranspiration télédétection Index. décimale : 551.028 Télédétection Résumé : Cette étude a pour objectif le développement d'une méthodologie appropriée pour le suivi d'un couvert végétal, pour l'estimation de son évapotranspiration réele journalière et pour le diagnostic de son état hydrique à travers la résolution de l'équation du bilan d'énergie à la surface par le biais du modèle SEBAL (surface energy balance algorithm for land). L'algorithme de résolution, de l'équation du bilan énergétique fait intervenir, en entrée, l'indice de végétation NDVI, la température de surface et l'albédo. Le jeu de données est constitué de 14 bandes du satellite ASTER et des mesures agrométéorologiques de terrain. Pour extraire le flux de chaleur latente, nous avons évalué par ordre hiérarchique les termes du bilan d'énergie: à savoir le rayonnement net, le flux conductif et le flux de chaleur sensible. Pour l'estimation de ce dernir, nous avaons opté pour une méthode basée sur l'utilisation des profils dans la couche de surface, avec le couplage qui s'opère dans le flux à la base de la couche limite convective. Il est alors possible de calculer le flux de chaleur sensible et d'estimer l'évapotranspiration réelle à partir de la résolution de l'équation du bilan d'énergie. différents indices d'humidité, dérivés de l'évapotranspiration, ont été calculés: la fraction évaporation. Ces indices calculés autorisent le diagnostic quantitatif de l'état hydrique du pixel. Par l'intermédiaire de la fraction évaporative, considérée constante à l'échelle de la journée, nous avons estimé l'évapotranspiration réelle journalière. Le site pilote choisi est une zone dans la plaine de Ksar Chellala (Algérie). En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=608 [article] Cartographie de l'évapotranspiration réelle journalière dans les conditions semi-arides en Algérie à partir des données satellitaires Aster [texte imprimé] / Abderrahmane Hamimed, Auteur ; Rabha Menaa, Auteur ; Mohamed Benslimane, Auteur . - 2008 . - p. 293-300.
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Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieTags : Algérie bilan d'énergie évapotranspiration télédétection Index. décimale : 551.028 Télédétection Résumé : Cette étude a pour objectif le développement d'une méthodologie appropriée pour le suivi d'un couvert végétal, pour l'estimation de son évapotranspiration réele journalière et pour le diagnostic de son état hydrique à travers la résolution de l'équation du bilan d'énergie à la surface par le biais du modèle SEBAL (surface energy balance algorithm for land). L'algorithme de résolution, de l'équation du bilan énergétique fait intervenir, en entrée, l'indice de végétation NDVI, la température de surface et l'albédo. Le jeu de données est constitué de 14 bandes du satellite ASTER et des mesures agrométéorologiques de terrain. Pour extraire le flux de chaleur latente, nous avons évalué par ordre hiérarchique les termes du bilan d'énergie: à savoir le rayonnement net, le flux conductif et le flux de chaleur sensible. Pour l'estimation de ce dernir, nous avaons opté pour une méthode basée sur l'utilisation des profils dans la couche de surface, avec le couplage qui s'opère dans le flux à la base de la couche limite convective. Il est alors possible de calculer le flux de chaleur sensible et d'estimer l'évapotranspiration réelle à partir de la résolution de l'équation du bilan d'énergie. différents indices d'humidité, dérivés de l'évapotranspiration, ont été calculés: la fraction évaporation. Ces indices calculés autorisent le diagnostic quantitatif de l'état hydrique du pixel. Par l'intermédiaire de la fraction évaporative, considérée constante à l'échelle de la journée, nous avons estimé l'évapotranspiration réelle journalière. Le site pilote choisi est une zone dans la plaine de Ksar Chellala (Algérie). En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=608
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 237-243
Titre : Contribution à une approche intégrée du pastorialisme : Pauvreté, vulnérabilité et déséquilibre écologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin Wiese, Auteur ; Idris Yosko, Auteur ; Marianne Donnat, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 237-243 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : cadre analytique méthodologie pastoralisme vulnérabilité Index. décimale : 519.85 Modélisation des phénomènes biologiques, écologiques ou sociologiques Résumé : A partir d'une des limites méthodologiques de l'étude de la pauvreté en milieu pastoral et d'une analyse des faits pastoraux observés, les auteurs proposent un certain nombre déléments afin de préciser la réflexion méthodologique et analytique dans ce domaine de la recherche. Il s'agit de présenter les concepts clés de pastoralisme, de vulnérabilité et de déséquilibre écologique. La démarche adoptée s'appuie sur la méthode de triangulation sensible au choix des perspectives, permettant d'appréhender les faits à la fois dans leur complexité et dans leur globalité, tout en prenant en compte leur aspect social. Les auteurs en déduisent que la méthode de triangulation constitue un outil dont l'éfficience et la validité dépendent du positionnement épistémologique du chercheur. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=593 [article] Contribution à une approche intégrée du pastorialisme : Pauvreté, vulnérabilité et déséquilibre écologique [texte imprimé] / Martin Wiese, Auteur ; Idris Yosko, Auteur ; Marianne Donnat, Auteur . - 2008 . - p. 237-243.
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Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : cadre analytique méthodologie pastoralisme vulnérabilité Index. décimale : 519.85 Modélisation des phénomènes biologiques, écologiques ou sociologiques Résumé : A partir d'une des limites méthodologiques de l'étude de la pauvreté en milieu pastoral et d'une analyse des faits pastoraux observés, les auteurs proposent un certain nombre déléments afin de préciser la réflexion méthodologique et analytique dans ce domaine de la recherche. Il s'agit de présenter les concepts clés de pastoralisme, de vulnérabilité et de déséquilibre écologique. La démarche adoptée s'appuie sur la méthode de triangulation sensible au choix des perspectives, permettant d'appréhender les faits à la fois dans leur complexité et dans leur globalité, tout en prenant en compte leur aspect social. Les auteurs en déduisent que la méthode de triangulation constitue un outil dont l'éfficience et la validité dépendent du positionnement épistémologique du chercheur. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=593
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 95-102
Titre : Culture du coton, pluviosité et dégradation des sols dans le Mouhoun (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Hauchart, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 95-102 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Burkina Faso coton développement érosion pluviométrie ruissellement Index. décimale : 966.25 Burkina Faso Résumé : Au Burkina Faso, la commercialisation du coton représente plus de la moitié des recettes d'exportation. Cette culture de rente est pratiquée dans les provinces occidentales du pays où les précipitations annuelles moyennes supérieures à 700 mm permettent sa culture sans complément d'irrigation. S'il est pratiqué comme une culture pluviale, le coton bénéficie néanmoins de soins particuliers et de pratiques agricoles semi-intensives, telles que le labour mécanisé ou l'apport d'intrants minéraux, qui le différencient des cultures vivières et qui s'expliquent par les revenus monétaires qu'il apporte à ses exploitants. Le contexte climatique du Mouhoun , au coeur de la grande région cotonnière burkinabé, est marqué parl'intensité et la variabilité interannuelle des pluies qui rendent la production du coton très aléatoire et favorisent la dégradation des sols. L'érosion est particulièrement active au début du cycle végétatif du cotonnier, au cours des mois de mai et juin, lorsque les sols, ameublis par un labour mal conduit et trop peu profond mais encore nus, sont soumis à des épisodes pluvieux dévastateurs. Durant cette période, les pluies intenses et discontinues excèdent les bésoins du cotonnier, alimentent le ruissellement, et favorisent la désagrégation mécanique des sols. Il en résulte une dégradation du substrat avec pertes en terres et appauvrissement chimique, dégradation qui affecte actuellement plus de 80 % des sols du Mouhoun et qui remet en cause la durabilité des systèmes de culture cotonniers dans les régions productrices, alors même que le coton est la seule source de devises du pays. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=633 [article] Culture du coton, pluviosité et dégradation des sols dans le Mouhoun (Burkina Faso) [texte imprimé] / Valérie Hauchart, Auteur . - 2008 . - p. 95-102.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 95-102
Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Burkina Faso coton développement érosion pluviométrie ruissellement Index. décimale : 966.25 Burkina Faso Résumé : Au Burkina Faso, la commercialisation du coton représente plus de la moitié des recettes d'exportation. Cette culture de rente est pratiquée dans les provinces occidentales du pays où les précipitations annuelles moyennes supérieures à 700 mm permettent sa culture sans complément d'irrigation. S'il est pratiqué comme une culture pluviale, le coton bénéficie néanmoins de soins particuliers et de pratiques agricoles semi-intensives, telles que le labour mécanisé ou l'apport d'intrants minéraux, qui le différencient des cultures vivières et qui s'expliquent par les revenus monétaires qu'il apporte à ses exploitants. Le contexte climatique du Mouhoun , au coeur de la grande région cotonnière burkinabé, est marqué parl'intensité et la variabilité interannuelle des pluies qui rendent la production du coton très aléatoire et favorisent la dégradation des sols. L'érosion est particulièrement active au début du cycle végétatif du cotonnier, au cours des mois de mai et juin, lorsque les sols, ameublis par un labour mal conduit et trop peu profond mais encore nus, sont soumis à des épisodes pluvieux dévastateurs. Durant cette période, les pluies intenses et discontinues excèdent les bésoins du cotonnier, alimentent le ruissellement, et favorisent la désagrégation mécanique des sols. Il en résulte une dégradation du substrat avec pertes en terres et appauvrissement chimique, dégradation qui affecte actuellement plus de 80 % des sols du Mouhoun et qui remet en cause la durabilité des systèmes de culture cotonniers dans les régions productrices, alors même que le coton est la seule source de devises du pays. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=633
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 211-216
Titre : Effet de l'actinomycète Frankia sur la croissance et la fixation de l'azote de Casuarina glauca et Casuarina cunninghamiana Type de document : texte imprimé Auteurs : Mohammed Tellal, Auteur ; Mohammed Qarro, Auteur ; Mustapha Arahou, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 211-216 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Sciences de la vie:Plantes:FleursTags : croissance racinaire germination mycorrhyze stress hydrique Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : Un test d'inoculation par la souche de Frankia (RT, de jeunes plants de Casuarina cunninghamiana (C.c) et Casuarina glauca (C.g), a été mis en place en pépinière expérimentale. Six mois après inoculation, cette souche s'est avérée infective (920,2 mg de nodules/plant pour C.c et 927,1 mg de nodules/ plant pour C.g) et efficiente vis-à-vis de ces deux espèces. En effet, comparativement sont: 63 et 55 % de la hauteur; 61 et 70 % du diamètre au collet; 208 et 176 % du pods sec de la partie aérienne et 184 et 151 % du poids sec de la partie racinaire. Au niveau du substrat de culture, on a déterminé la diversité dans les populations de spores de champignons mycorhiziens arbusculaire (MA), et certaines structures caractéristique des genres Glomus, Acaulospora, Gigaspora et Scutellospora appartenant à l'ordre des Glomales. On a aussi observé, au niveau du système racinaire, des structures résultant de l'infection mycorhizienne (arbuscules, hyphes, vésicules), spécialement pour C.c ou la fréquence de mycorhization est de l'ordre de 40% alors que chez C.g, on n'a observé que quelques hyphes. Le test réalisé au niveau lottoral atlantique (région d'El Jadida), a montré la part de l'inoculation par Frankia dans l'induction d'un signe de résistance au stress hydrique de plants nodulés (apparition des rameaux latéraux), et ce surtout chez Casuarina glauca. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=623 [article] Effet de l'actinomycète Frankia sur la croissance et la fixation de l'azote de Casuarina glauca et Casuarina cunninghamiana [texte imprimé] / Mohammed Tellal, Auteur ; Mohammed Qarro, Auteur ; Mustapha Arahou, Auteur . - 2008 . - p. 211-216.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 211-216
Catégories : Agneaux
:Sciences:Sciences de la vie:Plantes:FleursTags : croissance racinaire germination mycorrhyze stress hydrique Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : Un test d'inoculation par la souche de Frankia (RT, de jeunes plants de Casuarina cunninghamiana (C.c) et Casuarina glauca (C.g), a été mis en place en pépinière expérimentale. Six mois après inoculation, cette souche s'est avérée infective (920,2 mg de nodules/plant pour C.c et 927,1 mg de nodules/ plant pour C.g) et efficiente vis-à-vis de ces deux espèces. En effet, comparativement sont: 63 et 55 % de la hauteur; 61 et 70 % du diamètre au collet; 208 et 176 % du pods sec de la partie aérienne et 184 et 151 % du poids sec de la partie racinaire. Au niveau du substrat de culture, on a déterminé la diversité dans les populations de spores de champignons mycorhiziens arbusculaire (MA), et certaines structures caractéristique des genres Glomus, Acaulospora, Gigaspora et Scutellospora appartenant à l'ordre des Glomales. On a aussi observé, au niveau du système racinaire, des structures résultant de l'infection mycorhizienne (arbuscules, hyphes, vésicules), spécialement pour C.c ou la fréquence de mycorhization est de l'ordre de 40% alors que chez C.g, on n'a observé que quelques hyphes. Le test réalisé au niveau lottoral atlantique (région d'El Jadida), a montré la part de l'inoculation par Frankia dans l'induction d'un signe de résistance au stress hydrique de plants nodulés (apparition des rameaux latéraux), et ce surtout chez Casuarina glauca. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=623
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 253-260
Titre : L'élevage camelin en Algérie : Quel type pour quel avenir ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdelkader Adamou, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 253-260 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Techniques:Agriculture - ElevageTags : Algérie dromadaire mode d'élevage Sahara Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : Deux cent quarante-neuf chameliers ont été enquêtés dans les trois grandes aires de distribution du dromadaire en Algérie : sud-est (Souf), sud-ouest (Tindouf) et extrême sud (Hoggar) pour permettre d'identifier les types d'élevage existants et d'en comprendre le fonctionnement. Trois modes ont été identifiés où l'on rencontre des types d'activité spécifiques à une région (ramassage de bois dans le Souf) ou des systèmes de conduite des troupeaux communs aux régions (semi-nomades, nomades,sédentaires). L'analyse de la diversité de ces activités d'élevage et leur durabilité, compte tenu des changements écologique, économique et social, nous ont permis de conclure que le seul mode d'élevage qui restera stable est le semi-nomadisme, et celui-ci mérite donc d'être conforté en essayant de trouver des formes d'intégration qui permettront de perpétuer ce mode de vie à même de respecter l'équilibre écologique. Les résultats obtenus serviront de base à des plans d'action visant à préserver cette espèce jusque-là en déclin et permettront d'orienter l'exploitation du dromadaire comme animal de boucherie, les autres aspects de la polyfonctionnalité du dromadaire ayant fortement perdu de leur prestige. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=595 [article] L'élevage camelin en Algérie : Quel type pour quel avenir ? [texte imprimé] / Abdelkader Adamou, Auteur . - 2008 . - p. 253-260.
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Catégories : Agneaux
:Techniques:Agriculture - ElevageTags : Algérie dromadaire mode d'élevage Sahara Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : Deux cent quarante-neuf chameliers ont été enquêtés dans les trois grandes aires de distribution du dromadaire en Algérie : sud-est (Souf), sud-ouest (Tindouf) et extrême sud (Hoggar) pour permettre d'identifier les types d'élevage existants et d'en comprendre le fonctionnement. Trois modes ont été identifiés où l'on rencontre des types d'activité spécifiques à une région (ramassage de bois dans le Souf) ou des systèmes de conduite des troupeaux communs aux régions (semi-nomades, nomades,sédentaires). L'analyse de la diversité de ces activités d'élevage et leur durabilité, compte tenu des changements écologique, économique et social, nous ont permis de conclure que le seul mode d'élevage qui restera stable est le semi-nomadisme, et celui-ci mérite donc d'être conforté en essayant de trouver des formes d'intégration qui permettront de perpétuer ce mode de vie à même de respecter l'équilibre écologique. Les résultats obtenus serviront de base à des plans d'action visant à préserver cette espèce jusque-là en déclin et permettront d'orienter l'exploitation du dromadaire comme animal de boucherie, les autres aspects de la polyfonctionnalité du dromadaire ayant fortement perdu de leur prestige. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=595
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 201-205
Titre : Equations d'estimation de la biomasse foliaire de cinq espèces ligneuses soudaniennes du Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Fidèle Bognounou, Auteur ; Moumini Savadogo, Auteur ; Issaka Joseph Boussim, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 201-205 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : biomasse Burkina Faso espèce fourragère ligneux modélisation Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Les arbres et les arbustes fourragers jouent un rôle important dans l'alimentation du bétail. Les différentes méthodes et modèles mathématiques d'estimation de leur biomasse foliaire soulèvent des problèmes dans un écosystème parcouru annuellement par des feux de brousse. Leurs troncs assez particuliers rendent délicat l'utilisation des mesures de certains paramètres physiques pour l'établissement d'équation d'estimation. Cependant l'utilisation d'une méthode quasi non destructive et d'un modèle logarithmique a permis l'obtention de conq équations d'évaluation de la biomasse foliaire de Afzelia africana Sm. ex pers, Daniellia oliveri Hutch.& Dalz., Ficus sycomorus subsq. gnaphalocarpa (Miq.) C. C. Berg, Pterrocarpus erinaceus Poir, et Sterculia setigera Del. Les avantages de ces équations sont leur fiabilité, l'évaluation de la biomasse foliaire par espèce ou par peuplements d'espèce et leur application rapide et non destructive. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=621 [article] Equations d'estimation de la biomasse foliaire de cinq espèces ligneuses soudaniennes du Burkina Faso [texte imprimé] / Fidèle Bognounou, Auteur ; Moumini Savadogo, Auteur ; Issaka Joseph Boussim, Auteur . - 2008 . - p. 201-205.
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Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : biomasse Burkina Faso espèce fourragère ligneux modélisation Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Les arbres et les arbustes fourragers jouent un rôle important dans l'alimentation du bétail. Les différentes méthodes et modèles mathématiques d'estimation de leur biomasse foliaire soulèvent des problèmes dans un écosystème parcouru annuellement par des feux de brousse. Leurs troncs assez particuliers rendent délicat l'utilisation des mesures de certains paramètres physiques pour l'établissement d'équation d'estimation. Cependant l'utilisation d'une méthode quasi non destructive et d'un modèle logarithmique a permis l'obtention de conq équations d'évaluation de la biomasse foliaire de Afzelia africana Sm. ex pers, Daniellia oliveri Hutch.& Dalz., Ficus sycomorus subsq. gnaphalocarpa (Miq.) C. C. Berg, Pterrocarpus erinaceus Poir, et Sterculia setigera Del. Les avantages de ces équations sont leur fiabilité, l'évaluation de la biomasse foliaire par espèce ou par peuplements d'espèce et leur application rapide et non destructive. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=621
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 123-128
Titre : Etude de la dynamique du système racinaire des plantules de certaines espèces arbustives autochtones de la Tunisie aride Type de document : texte imprimé Auteurs : Farah Ben Salem, Auteur ; Azaiez Ouled Belgacem, Auteur ; Mohamed Neffati, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 123-128 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : arbuste croissance racinaire Tunisie zone aride Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : Le présent travail a porté sur l'étude de la dynamique du système racinaire de trois arbustes autochtones présentant un grand intérêt économique et écologique en Tunisie aride (Acacia raddiana Savi., Ceratonia siliqua L. et Juniperus phoenicea L.), et cultivés dans des rhizotrons dans le but de maîtriser la culture de leurs plants en pépinière. Les résultats obtenus montrent que le développement du système racinaire des trois espèces étudiées est rapide,dès les premières mois suivant leur germination (au mois de novembre), même si la croissance du système racinaire d'A. raddiana est affectée par les basses températures hivernales. Un tel comportement, qui, dans les conditions naturelles, constitue l'une des caractèristiques adaptatives de ces espèces aux conditions d'aridité climatique, doit être pris en compte en cas de culture de leurs plants dans des pépinières. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=658 [article] Etude de la dynamique du système racinaire des plantules de certaines espèces arbustives autochtones de la Tunisie aride [texte imprimé] / Farah Ben Salem, Auteur ; Azaiez Ouled Belgacem, Auteur ; Mohamed Neffati, Auteur . - 2008 . - p. 123-128.
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Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : arbuste croissance racinaire Tunisie zone aride Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : Le présent travail a porté sur l'étude de la dynamique du système racinaire de trois arbustes autochtones présentant un grand intérêt économique et écologique en Tunisie aride (Acacia raddiana Savi., Ceratonia siliqua L. et Juniperus phoenicea L.), et cultivés dans des rhizotrons dans le but de maîtriser la culture de leurs plants en pépinière. Les résultats obtenus montrent que le développement du système racinaire des trois espèces étudiées est rapide,dès les premières mois suivant leur germination (au mois de novembre), même si la croissance du système racinaire d'A. raddiana est affectée par les basses températures hivernales. Un tel comportement, qui, dans les conditions naturelles, constitue l'une des caractèristiques adaptatives de ces espèces aux conditions d'aridité climatique, doit être pris en compte en cas de culture de leurs plants dans des pépinières. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=658
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 173-184
Titre : Forçage climatique et anthropique sur la ressource en eau souterraine d'une région semi-aride : Cas de la plaine de Ghriss (Nord-Ouest algérien) Type de document : texte imprimé Auteurs : Belkacem Bekkoussa, Auteur ; Mohamed Meddi, Auteur ; Hervé Jourde, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 173-184 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Algérie eau souterraine facteur anthropique pluviométrie piézométrie ressource en eau zone semi-aride Index. décimale : 556.3 Climatologie Résumé : La séchresse qui a touché le Nord-Ouest algérien ces dernières a eu des répercussions importantes sur les ressources en eau, et plus particulièrement sur les eaux souterraines. La surexploitation de cette ressource pour subvenir aux divers besoins des populations locales, et notamment aux besoins agricoles menace sa pérennité. Le rabattement des eaux de l'aquifère plio-quaternaire de Ghriss à des niveaux alarmants est source de préoccupation majeure pour la population de la région ainsi que pour les autorités locales et nationales. Dans cet article, nous allons chercher à déterminer si ce phénomène est d'origine naturelle ou anthropique. La compréhension de la structure et de l'hydrodynamisme du système aquifère de la plaine de Ghriss est l'étape préalable et nécessaire pour analyser la situation d'ensemble de la ressource en eau souterraine. L'analyse de l'évolution des apports pluviométriques dans la région étudiée a montré une nette diminution depuis 1973 estimée à plus de 25 %. Les déficits pluviométriques se sont succédé durant plusieurs années, avec par conséquent la diminution des débits de l'oued principal de la plaine de Ghriss, à savoir l'oued Fekan, et cela jusqu'à son quasi-assèchement ces dernières années. Le niveau de la nappe plio-quaternaire de Ghriss a fortement diminué entre 1970 et 2001, la baisse piézométrique atteignant plus de 60 mètres dans certains secteurs de la région. Les restrictions de pompages imposées par les autorités depuis de début des années 1990 ont néanmoins permis de diminuer les prélèvements. L'alimentation du système aquifère de la paline de Ghriss est estimé à 65.3 millions de m3/an et les prélèvements totalisent actuellement un volume de 64.7 millions de m3/an. Un équilibre plus ou moins fragile entre entrée et sortie du système aquifère de la plaine de Ghriss est ainsi enregistré depuis l'an 2000, ce qui s'est traduit par une stabilisation des niveaux piézométriques de la nappe plioquaternaire. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=618 [article] Forçage climatique et anthropique sur la ressource en eau souterraine d'une région semi-aride : Cas de la plaine de Ghriss (Nord-Ouest algérien) [texte imprimé] / Belkacem Bekkoussa, Auteur ; Mohamed Meddi, Auteur ; Hervé Jourde, Auteur . - 2008 . - p. 173-184.
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Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Algérie eau souterraine facteur anthropique pluviométrie piézométrie ressource en eau zone semi-aride Index. décimale : 556.3 Climatologie Résumé : La séchresse qui a touché le Nord-Ouest algérien ces dernières a eu des répercussions importantes sur les ressources en eau, et plus particulièrement sur les eaux souterraines. La surexploitation de cette ressource pour subvenir aux divers besoins des populations locales, et notamment aux besoins agricoles menace sa pérennité. Le rabattement des eaux de l'aquifère plio-quaternaire de Ghriss à des niveaux alarmants est source de préoccupation majeure pour la population de la région ainsi que pour les autorités locales et nationales. Dans cet article, nous allons chercher à déterminer si ce phénomène est d'origine naturelle ou anthropique. La compréhension de la structure et de l'hydrodynamisme du système aquifère de la plaine de Ghriss est l'étape préalable et nécessaire pour analyser la situation d'ensemble de la ressource en eau souterraine. L'analyse de l'évolution des apports pluviométriques dans la région étudiée a montré une nette diminution depuis 1973 estimée à plus de 25 %. Les déficits pluviométriques se sont succédé durant plusieurs années, avec par conséquent la diminution des débits de l'oued principal de la plaine de Ghriss, à savoir l'oued Fekan, et cela jusqu'à son quasi-assèchement ces dernières années. Le niveau de la nappe plio-quaternaire de Ghriss a fortement diminué entre 1970 et 2001, la baisse piézométrique atteignant plus de 60 mètres dans certains secteurs de la région. Les restrictions de pompages imposées par les autorités depuis de début des années 1990 ont néanmoins permis de diminuer les prélèvements. L'alimentation du système aquifère de la paline de Ghriss est estimé à 65.3 millions de m3/an et les prélèvements totalisent actuellement un volume de 64.7 millions de m3/an. Un équilibre plus ou moins fragile entre entrée et sortie du système aquifère de la plaine de Ghriss est ainsi enregistré depuis l'an 2000, ce qui s'est traduit par une stabilisation des niveaux piézométriques de la nappe plioquaternaire. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=618
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 185-192
Titre : Les fuites d'eau à travers le barrage algérien de Ouizert Type de document : texte imprimé Auteurs : Hassen Benfetta, Auteur ; Boualem Remini, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 185-192 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Algérie barrage piézométrie zone aride Index. décimale : 551.49 Hydrologie souterraine Résumé : Certains barrages algériens sont confrontés au problème des fuites d'eau à travers les rives et les fondations. L'étude de ce phénomène s'avère prioritaire, car il peut mettre en danger la stabilité du barrage et réduire sa capacité utile. C'est le cas en particulier du barrage de Ouizert, implanté en zone aride où la ressource hydrique se fait de plus en plus rare. Ce barrage, situé à environ 35 km au sud-ouest de la ville de Mascara (Ouest algérien), est réputé pour ses pertes considérables en eau. D'une capacité avoisinant les 100 millions de m3, le barrage de Ouizert est destiné à accroître la régularisation de l'ouest El Hammam en vue d'alimenter en eau la ville d'Oran et le complexe industriel d'Arzew, d'assurer l'irrigation du périmètre d'El Habra situé au nord de Mohammadia et d'alimenter enfin le barrage de bouhanifia par des lâchers. Cependant, ce barrage, qui n'a jamais atteint son niveau maximum, est menacé par les fuites d'eau à travers l'une de ses rives, fuites qui s'accroissent d'année en année. Le débit de fuite a été estimé à 1 m3/s, ce qui correspond à un volume considérable d'eau perdue. Nous présentons dans cet article un constat de la problématique des fuites à travers le barrage de Ouizert ainsi que les résultats d'une étude physico-chimique et piézométrique. Nous tenterons enfin de faire une analyse de la variation du débit de fuite en fonction de la cote de la retenue du barrage. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=619 [article] Les fuites d'eau à travers le barrage algérien de Ouizert [texte imprimé] / Hassen Benfetta, Auteur ; Boualem Remini, Auteur . - 2008 . - p. 185-192.
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Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Algérie barrage piézométrie zone aride Index. décimale : 551.49 Hydrologie souterraine Résumé : Certains barrages algériens sont confrontés au problème des fuites d'eau à travers les rives et les fondations. L'étude de ce phénomène s'avère prioritaire, car il peut mettre en danger la stabilité du barrage et réduire sa capacité utile. C'est le cas en particulier du barrage de Ouizert, implanté en zone aride où la ressource hydrique se fait de plus en plus rare. Ce barrage, situé à environ 35 km au sud-ouest de la ville de Mascara (Ouest algérien), est réputé pour ses pertes considérables en eau. D'une capacité avoisinant les 100 millions de m3, le barrage de Ouizert est destiné à accroître la régularisation de l'ouest El Hammam en vue d'alimenter en eau la ville d'Oran et le complexe industriel d'Arzew, d'assurer l'irrigation du périmètre d'El Habra situé au nord de Mohammadia et d'alimenter enfin le barrage de bouhanifia par des lâchers. Cependant, ce barrage, qui n'a jamais atteint son niveau maximum, est menacé par les fuites d'eau à travers l'une de ses rives, fuites qui s'accroissent d'année en année. Le débit de fuite a été estimé à 1 m3/s, ce qui correspond à un volume considérable d'eau perdue. Nous présentons dans cet article un constat de la problématique des fuites à travers le barrage de Ouizert ainsi que les résultats d'une étude physico-chimique et piézométrique. Nous tenterons enfin de faire une analyse de la variation du débit de fuite en fonction de la cote de la retenue du barrage. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=619
in Sécheresse > Sécheresse-2-volume-19 [01/04/2008] . - p. 79-85
Titre : Impact du changement climatique sur la saison des pluies en Afrique de l'Ouest: que nous disent les modèles de climat actuels? Type de document : texte imprimé Auteurs : Tristan d'Orgeval, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 79-85 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences humaines:GéographieTags : Afrique de l'Ouest climat changement climatique modélisation pluviométrie Index. décimale : 556.3 Climatologie Résumé : L'objectif de ce article est de déterminer l'impact du changement climatique sur la saison des pluies en Afrique de l'Ouest à partir de GCM (general circulation model, modèles de circulation générale) du projet d'intercomparaison CMIP3 (coupled model intercomparison Project |||). Pour cela une caractérisation "dynamique" de la zone de convergence intertropicale (ZCIT) est utilisée. On s'intéresse plus particulièrement à la latitude du centre de la ZCIT, à sa largeur, ainsi qu'à son intensité moyenne. Dans un premier temps, la comparaison des simulations de contrôle de CMIP3 ET CMIP2 nous montre que la représentation des précipitations sur l'Afrique de l'Ouest par les GCM s'est améliorée dans les dernières années. Puis les simulations de changement climatique d'après différents scénarii sont analysées. On montre ainsi que les consensus sur l'impact du changement climatique restent faibles et qu'une approche probabiliste doit être privilégiée pour les études d'impact. Trois grandes tendances se dégagent cependant dans les sorties de GCM indiquant une ZCIT moins large et plus intense ainsi qu'un retrait tardif des pluies . Par ailleurs, la discrimination des modèles a priori à partir de la qualité des simulations de contrôle ne permet pas d'améliorer l'accord entre les modèles. Enfin, aucune indication ne peut être donnée sur l'évolution de la variabilité interannuelle de la ZCIT, même si une ZCIT moins large et plus intense implique une variabilité lacale des pluies plus importante. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=629 [article] Impact du changement climatique sur la saison des pluies en Afrique de l'Ouest: que nous disent les modèles de climat actuels? [texte imprimé] / Tristan d'Orgeval, Auteur . - 2008 . - p. 79-85.
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:Sciences humaines:GéographieTags : Afrique de l'Ouest climat changement climatique modélisation pluviométrie Index. décimale : 556.3 Climatologie Résumé : L'objectif de ce article est de déterminer l'impact du changement climatique sur la saison des pluies en Afrique de l'Ouest à partir de GCM (general circulation model, modèles de circulation générale) du projet d'intercomparaison CMIP3 (coupled model intercomparison Project |||). Pour cela une caractérisation "dynamique" de la zone de convergence intertropicale (ZCIT) est utilisée. On s'intéresse plus particulièrement à la latitude du centre de la ZCIT, à sa largeur, ainsi qu'à son intensité moyenne. Dans un premier temps, la comparaison des simulations de contrôle de CMIP3 ET CMIP2 nous montre que la représentation des précipitations sur l'Afrique de l'Ouest par les GCM s'est améliorée dans les dernières années. Puis les simulations de changement climatique d'après différents scénarii sont analysées. On montre ainsi que les consensus sur l'impact du changement climatique restent faibles et qu'une approche probabiliste doit être privilégiée pour les études d'impact. Trois grandes tendances se dégagent cependant dans les sorties de GCM indiquant une ZCIT moins large et plus intense ainsi qu'un retrait tardif des pluies . Par ailleurs, la discrimination des modèles a priori à partir de la qualité des simulations de contrôle ne permet pas d'améliorer l'accord entre les modèles. Enfin, aucune indication ne peut être donnée sur l'évolution de la variabilité interannuelle de la ZCIT, même si une ZCIT moins large et plus intense implique une variabilité lacale des pluies plus importante. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=629
in Sécheresse > Sécheresse-3-volume-19 [01/07/2008] . - p. 207-210
Titre : Influence de la litière foliaire de cinq espèce végétales tropicales sur la croissance du mil (pennisetum glaucum (L.) R. Br.) et du maïs (Zea mays L.) Type de document : texte imprimé Auteurs : Mariama-Dalanda Diallo, Auteur ; jean-luc Chotte, Auteur ; Saïdou Nourou Sall, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 207-210 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Techniques:Agriculture - ElevageTags : agroforesterie biomasse croissance racinaire maïs mil performance agronomique Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : L'objectif de ce travail a été d'évaluer l'influence de la litière de cinq espèces végétales fréquemment utilisées dans les plantations agroforestières en zone soudano-sahélienne sur les différents paramètres de croissance du mil (pennisetum glaucum (L.) R. Br.) et du maïs (Zea mays L.) en serre. Les litières de Faidherbia albida A. Chev., Azadirachta indica A. Juss., Casuarina equisetifolia Forsk., Andropogon gayanus Kunth. et de eragrostis tremula Steud ont été mélangées avec 3 Kg de sol dans des pots en polyvinyle chlorure (PVC) à la dose 2 % (poids sec). Elles ont ensuite été laissées en décomposition dans les pots pendant 7 mois avant la semence des graines. Les résultats ont montré que les paramètres de croissance de ces deux plantes varient en fonction de la qualité de la litière utilisée. La litière de F. albida a amélioré tous les paramètres de croissance du mil ainsi que la croissance en hauteur et les biomasses aérienne et racinaire du maïs. La litière de A. indica a augmenté le nombre de feuilles et la biomasse aérienne du mil, la croissance en hauteur et la biomasse aérienne du maïs. De même, C. equisetifolia a eu un effet positif sur le diamètre au collet du mil. En revanche, la litière de A. gayanus a induit une réduction du nombre de feuilles et de la biomasse racinaire du maïs tandis que E. tremula a montré le même effet inhibiteur sur le diamètre au collet du maïs. Les litières foliaires de F. albida et de A. indica ont manifesté ainsi un meilleur potentiel pour améliorer les rendements des cultures. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=622 [article] Influence de la litière foliaire de cinq espèce végétales tropicales sur la croissance du mil (pennisetum glaucum (L.) R. Br.) et du maïs (Zea mays L.) [texte imprimé] / Mariama-Dalanda Diallo, Auteur ; jean-luc Chotte, Auteur ; Saïdou Nourou Sall, Auteur . - 2008 . - p. 207-210.
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:Techniques:Agriculture - ElevageTags : agroforesterie biomasse croissance racinaire maïs mil performance agronomique Index. décimale : 630 Agriculture - forêt, élevage, pêche Résumé : L'objectif de ce travail a été d'évaluer l'influence de la litière de cinq espèces végétales fréquemment utilisées dans les plantations agroforestières en zone soudano-sahélienne sur les différents paramètres de croissance du mil (pennisetum glaucum (L.) R. Br.) et du maïs (Zea mays L.) en serre. Les litières de Faidherbia albida A. Chev., Azadirachta indica A. Juss., Casuarina equisetifolia Forsk., Andropogon gayanus Kunth. et de eragrostis tremula Steud ont été mélangées avec 3 Kg de sol dans des pots en polyvinyle chlorure (PVC) à la dose 2 % (poids sec). Elles ont ensuite été laissées en décomposition dans les pots pendant 7 mois avant la semence des graines. Les résultats ont montré que les paramètres de croissance de ces deux plantes varient en fonction de la qualité de la litière utilisée. La litière de F. albida a amélioré tous les paramètres de croissance du mil ainsi que la croissance en hauteur et les biomasses aérienne et racinaire du maïs. La litière de A. indica a augmenté le nombre de feuilles et la biomasse aérienne du mil, la croissance en hauteur et la biomasse aérienne du maïs. De même, C. equisetifolia a eu un effet positif sur le diamètre au collet du mil. En revanche, la litière de A. gayanus a induit une réduction du nombre de feuilles et de la biomasse racinaire du maïs tandis que E. tremula a montré le même effet inhibiteur sur le diamètre au collet du maïs. Les litières foliaires de F. albida et de A. indica ont manifesté ainsi un meilleur potentiel pour améliorer les rendements des cultures. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=622
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 277-281
Titre : Intérêt de la mycorhization contrôlée pour la production de plants d'arganier (Argania spinosa) en conditions de pépinière Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdelwahad Echairi, Auteur ; Rachida Nouaim, Auteur ; Rémi Chaussod, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 277-281 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Sciences de la vie:Plantes:FleursTags : Argania spinosa mycorhization pépinière phosphore production de plants Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : L'effet d'une mycorhization contrôlée sur la croissance de jeunes plants d'arganier issus de semis de graines a été évalué dans une perspective d'application en pépinière. L'inoculation par une souche de Glomus intraradices a montré un effet bénéfique sur la croissance des plants cultivés dans un substrat inerte (argile calcinée). Après neuf mois de croissance, l'indice de dépendance mycorhizienne relative (IDMR) est de 48%. L'utilisation d'un inoculum commercial a confirmé l'intérêt d'une mycorhization précoce des plants avec des souches sélectionnées sur leur efficacité, même dans un substrat contenant du sol (et donc une flore mycorhizienne naturelle). L'effet, très net quatre mois après le semis, tend à s'estomper avec le temps mais reste significatif après 12 mois, bien que les systèmes racinaires des traitements inoculés et non inoculés soient tous deux mycorhizés. Ces expérimentations confirment la forte dépendance mycorhizienne de l'arganier et justifient l'inoculation par des souches sélectionnées le plus précocement possible, au stade pépinière. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=598 [article] Intérêt de la mycorhization contrôlée pour la production de plants d'arganier (Argania spinosa) en conditions de pépinière [texte imprimé] / Abdelwahad Echairi, Auteur ; Rachida Nouaim, Auteur ; Rémi Chaussod, Auteur . - 2008 . - p. 277-281.
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:Sciences:Sciences de la vie:Plantes:FleursTags : Argania spinosa mycorhization pépinière phosphore production de plants Index. décimale : 580 Botanique - (les plantes) Résumé : L'effet d'une mycorhization contrôlée sur la croissance de jeunes plants d'arganier issus de semis de graines a été évalué dans une perspective d'application en pépinière. L'inoculation par une souche de Glomus intraradices a montré un effet bénéfique sur la croissance des plants cultivés dans un substrat inerte (argile calcinée). Après neuf mois de croissance, l'indice de dépendance mycorhizienne relative (IDMR) est de 48%. L'utilisation d'un inoculum commercial a confirmé l'intérêt d'une mycorhization précoce des plants avec des souches sélectionnées sur leur efficacité, même dans un substrat contenant du sol (et donc une flore mycorhizienne naturelle). L'effet, très net quatre mois après le semis, tend à s'estomper avec le temps mais reste significatif après 12 mois, bien que les systèmes racinaires des traitements inoculés et non inoculés soient tous deux mycorhizés. Ces expérimentations confirment la forte dépendance mycorhizienne de l'arganier et justifient l'inoculation par des souches sélectionnées le plus précocement possible, au stade pépinière. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=598
