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Cartographie de l'évapotranspiration réelle journalière dans les conditions semi-arides en Algérie à partir des données satellitaires Aster / Abderrahmane Hamimed in Sécheresse, Séheresse-4-volume-19 ([01/12/2008])
[article]
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 293-300
Titre : Cartographie de l'évapotranspiration réelle journalière dans les conditions semi-arides en Algérie à partir des données satellitaires Aster Type de document : texte imprimé Auteurs : Abderrahmane Hamimed, Auteur ; Rabha Menaa, Auteur ; Mohamed Benslimane, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 293-300 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieTags : Algérie bilan d'énergie évapotranspiration télédétection Index. décimale : 551.028 Télédétection Résumé : Cette étude a pour objectif le développement d'une méthodologie appropriée pour le suivi d'un couvert végétal, pour l'estimation de son évapotranspiration réele journalière et pour le diagnostic de son état hydrique à travers la résolution de l'équation du bilan d'énergie à la surface par le biais du modèle SEBAL (surface energy balance algorithm for land). L'algorithme de résolution, de l'équation du bilan énergétique fait intervenir, en entrée, l'indice de végétation NDVI, la température de surface et l'albédo. Le jeu de données est constitué de 14 bandes du satellite ASTER et des mesures agrométéorologiques de terrain. Pour extraire le flux de chaleur latente, nous avons évalué par ordre hiérarchique les termes du bilan d'énergie: à savoir le rayonnement net, le flux conductif et le flux de chaleur sensible. Pour l'estimation de ce dernir, nous avaons opté pour une méthode basée sur l'utilisation des profils dans la couche de surface, avec le couplage qui s'opère dans le flux à la base de la couche limite convective. Il est alors possible de calculer le flux de chaleur sensible et d'estimer l'évapotranspiration réelle à partir de la résolution de l'équation du bilan d'énergie. différents indices d'humidité, dérivés de l'évapotranspiration, ont été calculés: la fraction évaporation. Ces indices calculés autorisent le diagnostic quantitatif de l'état hydrique du pixel. Par l'intermédiaire de la fraction évaporative, considérée constante à l'échelle de la journée, nous avons estimé l'évapotranspiration réelle journalière. Le site pilote choisi est une zone dans la plaine de Ksar Chellala (Algérie). En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=608 [article] Cartographie de l'évapotranspiration réelle journalière dans les conditions semi-arides en Algérie à partir des données satellitaires Aster [texte imprimé] / Abderrahmane Hamimed, Auteur ; Rabha Menaa, Auteur ; Mohamed Benslimane, Auteur . - 2008 . - p. 293-300.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 293-300
Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieTags : Algérie bilan d'énergie évapotranspiration télédétection Index. décimale : 551.028 Télédétection Résumé : Cette étude a pour objectif le développement d'une méthodologie appropriée pour le suivi d'un couvert végétal, pour l'estimation de son évapotranspiration réele journalière et pour le diagnostic de son état hydrique à travers la résolution de l'équation du bilan d'énergie à la surface par le biais du modèle SEBAL (surface energy balance algorithm for land). L'algorithme de résolution, de l'équation du bilan énergétique fait intervenir, en entrée, l'indice de végétation NDVI, la température de surface et l'albédo. Le jeu de données est constitué de 14 bandes du satellite ASTER et des mesures agrométéorologiques de terrain. Pour extraire le flux de chaleur latente, nous avons évalué par ordre hiérarchique les termes du bilan d'énergie: à savoir le rayonnement net, le flux conductif et le flux de chaleur sensible. Pour l'estimation de ce dernir, nous avaons opté pour une méthode basée sur l'utilisation des profils dans la couche de surface, avec le couplage qui s'opère dans le flux à la base de la couche limite convective. Il est alors possible de calculer le flux de chaleur sensible et d'estimer l'évapotranspiration réelle à partir de la résolution de l'équation du bilan d'énergie. différents indices d'humidité, dérivés de l'évapotranspiration, ont été calculés: la fraction évaporation. Ces indices calculés autorisent le diagnostic quantitatif de l'état hydrique du pixel. Par l'intermédiaire de la fraction évaporative, considérée constante à l'échelle de la journée, nous avons estimé l'évapotranspiration réelle journalière. Le site pilote choisi est une zone dans la plaine de Ksar Chellala (Algérie). En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=608 Objectif-terre-1-volume-11 - Désertification (Bulletin de Objectif terre, Objectif-terre-1-volume-11 [01/03/2009])
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Objectif terre
Titre : Objectif-terre-1-volume-11 - Désertification : La dégradation s'accélère aux frontières des zones arides Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Importance : 46 p. Format : 27,5 cm Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieIndex. décimale : 556.3 Climatologie Permalink : ./index.php?lvl=bulletin_display&id=198 [n° ou bulletin]
est un bulletin de Objectif terre
Objectif-terre-1-volume-11 - Désertification : La dégradation s'accélère aux frontières des zones arides [texte imprimé] . - 2009 . - 46 p. ; 27,5 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieIndex. décimale : 556.3 Climatologie Permalink : ./index.php?lvl=bulletin_display&id=198 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PER-0650 550 OBJ Périodique e-Bibliothèque AUF/CNF-Lomé Périodiques Exclu du prêt Signification et usage de l'indice pluviométrique au Sahel / Abdou Ali in Sécheresse, Séheresse-4-volume-19 ([01/12/2008])
[article]
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 227-235
Titre : Signification et usage de l'indice pluviométrique au Sahel Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdou Ali, Auteur ; Thierry Lebel, Auteur ; Abou Amani, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 227-235 Langues : Français (fre) Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieTags : indice de pluie modélisation probabiliste Sahel sécheresse variabilité spatiale Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Pour diagnostiquer si une année est pluvieuse au sèche au Sahel, l'indice de pluie standardisé (IPS) est couramment utilisé. Cependant, compte tenu de la forte variabilité spatiale de la pluie dans cette région, plusieurs points d'ordre méthodologique méritent d'être clarifiés pour prétendre pouvoir caractériser de manière pertinente la saison des pluies à travers cet indice. Dans cette optique, la présente contribution fournit des éléments de réponse aux trois questions majeures suivantes : i) les réseaux pluviométriques opérationnels des pays sahéliens, compte tenu de la faiblesse de leur densité, permettent-ils de déceler de façon significative les fluctuations de la pluie interannuelle? La réponse est oui ; ii) est-il pertinent d'utiliser l'IPS calculé globalement sur tout le Sahel pour caractériser la saison des pluies, sachant que, dans son ensemble, le Sahel ne peut pas être considéré comme une région homogène en termes de variabilité interannuelle de la pluie ? La réponse est non ; iii) trois sous-régions sont identifiées (Sahel Est, Ouest et Centre), et il apparaît que, en particulier depuis 1990, la corrélation entre les IPS du Sahel Est et Sahel Ouest est très faible, montrant ainsi que la valeur globale de l'indice n'a, en elle-même, qu'une signification limitée. Tenant compte de ce résultat, comment utiliser une valeur globale de l'IPS de manière pertinente ? On propose ici une réponse probabiliste : en étudiant la variabilité des IPS locaux calculés sur des mailles de 0,5 x 0,5 degré, un modèle qui permet de quantifier la proportion des zones humides au sèches en fonction de la valeur globale de l'indice est proposé. Un résultat dérivé de cette étude méthodologique a une portée climatologique : en étudiant le comportement des IPS des trois régions, il est montré que la période récente (1990-2006) est caractérisée par une variabilité spatiale et une variabilité interannuelle plus fortes que celles des deux périodes précédentes, 1950-1969, globalement humide, et 1970-1989, globalement sèche. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=592 [article] Signification et usage de l'indice pluviométrique au Sahel [texte imprimé] / Abdou Ali, Auteur ; Thierry Lebel, Auteur ; Abou Amani, Auteur . - 2008 . - p. 227-235.
Langues : Français (fre)
in Sécheresse > Séheresse-4-volume-19 [01/12/2008] . - p. 227-235
Catégories : Agneaux
:Sciences:Terre:ClimatologieTags : indice de pluie modélisation probabiliste Sahel sécheresse variabilité spatiale Index. décimale : 550 Sciences de la Terre - géologie, météorologie Résumé : Pour diagnostiquer si une année est pluvieuse au sèche au Sahel, l'indice de pluie standardisé (IPS) est couramment utilisé. Cependant, compte tenu de la forte variabilité spatiale de la pluie dans cette région, plusieurs points d'ordre méthodologique méritent d'être clarifiés pour prétendre pouvoir caractériser de manière pertinente la saison des pluies à travers cet indice. Dans cette optique, la présente contribution fournit des éléments de réponse aux trois questions majeures suivantes : i) les réseaux pluviométriques opérationnels des pays sahéliens, compte tenu de la faiblesse de leur densité, permettent-ils de déceler de façon significative les fluctuations de la pluie interannuelle? La réponse est oui ; ii) est-il pertinent d'utiliser l'IPS calculé globalement sur tout le Sahel pour caractériser la saison des pluies, sachant que, dans son ensemble, le Sahel ne peut pas être considéré comme une région homogène en termes de variabilité interannuelle de la pluie ? La réponse est non ; iii) trois sous-régions sont identifiées (Sahel Est, Ouest et Centre), et il apparaît que, en particulier depuis 1990, la corrélation entre les IPS du Sahel Est et Sahel Ouest est très faible, montrant ainsi que la valeur globale de l'indice n'a, en elle-même, qu'une signification limitée. Tenant compte de ce résultat, comment utiliser une valeur globale de l'IPS de manière pertinente ? On propose ici une réponse probabiliste : en étudiant la variabilité des IPS locaux calculés sur des mailles de 0,5 x 0,5 degré, un modèle qui permet de quantifier la proportion des zones humides au sèches en fonction de la valeur globale de l'indice est proposé. Un résultat dérivé de cette étude méthodologique a une portée climatologique : en étudiant le comportement des IPS des trois régions, il est montré que la période récente (1990-2006) est caractérisée par une variabilité spatiale et une variabilité interannuelle plus fortes que celles des deux périodes précédentes, 1950-1969, globalement humide, et 1970-1989, globalement sèche. En ligne : http://www.revue-secheresse.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=592